La République des universitaires. 1870-1940
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- Nombre de pages540
- PrésentationBroché
- Poids0.5 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 3,2 cm
- ISBN2-02-014602-9
- EAN9782020146029
- Date de parution01/12/1994
- CollectionL'Univers historique
- ÉditeurSeuil
Résumé
Depuis le début du XIXe siècle, l'organisation de l'enseignement supérieur en France diffère profondément de celle des autres pays européens. Même si des universités inspirées en partie du modèle germanique ont fini par se mettre en place sous la Troisième République, leurs structures ont eu le plus grand mal à faire face aux différents défis du XXe siècle, comme le montre l'actualité depuis trente ans.
Chaque réforme a, en quelque sorte, recréé une nouvelle université tout en laissant en place des fragments du système précédent. En se fondant sur une vaste enquête à la fois sociale, intellectuelle et politique sur les professeurs de l'enseignement supérieur sous la Troisième République et en recourant à la méthode comparative, l'auteur propose une interprétation nouvelle de ces dysfonctionnements.
Celle-ci place au centre les responsabilités des acteurs au lieu, comme on le fait rituellement, d'accuser les structures ou la société dans son ensemble. Cette enquête rétrospective comble un vide historiographique important mais se veut aussi une contribution constructive à l'analyse du présent grâce à une sorte de plongée dans l'inconscient collectif des universitaires. Si l'ouvrage récuse l'image d'un âge d'or qui s'attache à cette époque, il montre aussi, contrairement aux essais passionnés mais partiaux que suscite l'enseignement supérieur en France, que la communauté universitaire, pour peu qu'elle le veuille, a su trouver hier des solutions novatrices pour tenter de rendre l'université possible.
Chaque réforme a, en quelque sorte, recréé une nouvelle université tout en laissant en place des fragments du système précédent. En se fondant sur une vaste enquête à la fois sociale, intellectuelle et politique sur les professeurs de l'enseignement supérieur sous la Troisième République et en recourant à la méthode comparative, l'auteur propose une interprétation nouvelle de ces dysfonctionnements.
Celle-ci place au centre les responsabilités des acteurs au lieu, comme on le fait rituellement, d'accuser les structures ou la société dans son ensemble. Cette enquête rétrospective comble un vide historiographique important mais se veut aussi une contribution constructive à l'analyse du présent grâce à une sorte de plongée dans l'inconscient collectif des universitaires. Si l'ouvrage récuse l'image d'un âge d'or qui s'attache à cette époque, il montre aussi, contrairement aux essais passionnés mais partiaux que suscite l'enseignement supérieur en France, que la communauté universitaire, pour peu qu'elle le veuille, a su trouver hier des solutions novatrices pour tenter de rendre l'université possible.
Depuis le début du XIXe siècle, l'organisation de l'enseignement supérieur en France diffère profondément de celle des autres pays européens. Même si des universités inspirées en partie du modèle germanique ont fini par se mettre en place sous la Troisième République, leurs structures ont eu le plus grand mal à faire face aux différents défis du XXe siècle, comme le montre l'actualité depuis trente ans.
Chaque réforme a, en quelque sorte, recréé une nouvelle université tout en laissant en place des fragments du système précédent. En se fondant sur une vaste enquête à la fois sociale, intellectuelle et politique sur les professeurs de l'enseignement supérieur sous la Troisième République et en recourant à la méthode comparative, l'auteur propose une interprétation nouvelle de ces dysfonctionnements.
Celle-ci place au centre les responsabilités des acteurs au lieu, comme on le fait rituellement, d'accuser les structures ou la société dans son ensemble. Cette enquête rétrospective comble un vide historiographique important mais se veut aussi une contribution constructive à l'analyse du présent grâce à une sorte de plongée dans l'inconscient collectif des universitaires. Si l'ouvrage récuse l'image d'un âge d'or qui s'attache à cette époque, il montre aussi, contrairement aux essais passionnés mais partiaux que suscite l'enseignement supérieur en France, que la communauté universitaire, pour peu qu'elle le veuille, a su trouver hier des solutions novatrices pour tenter de rendre l'université possible.
Chaque réforme a, en quelque sorte, recréé une nouvelle université tout en laissant en place des fragments du système précédent. En se fondant sur une vaste enquête à la fois sociale, intellectuelle et politique sur les professeurs de l'enseignement supérieur sous la Troisième République et en recourant à la méthode comparative, l'auteur propose une interprétation nouvelle de ces dysfonctionnements.
Celle-ci place au centre les responsabilités des acteurs au lieu, comme on le fait rituellement, d'accuser les structures ou la société dans son ensemble. Cette enquête rétrospective comble un vide historiographique important mais se veut aussi une contribution constructive à l'analyse du présent grâce à une sorte de plongée dans l'inconscient collectif des universitaires. Si l'ouvrage récuse l'image d'un âge d'or qui s'attache à cette époque, il montre aussi, contrairement aux essais passionnés mais partiaux que suscite l'enseignement supérieur en France, que la communauté universitaire, pour peu qu'elle le veuille, a su trouver hier des solutions novatrices pour tenter de rendre l'université possible.