765 km de front. Souvenirs et actes de guerre du Capitaine Mailler

Par : André Mailler
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  • Nombre de pages228
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.303 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-37553-029-0
  • EAN9782375530290
  • Date de parution22/09/2018
  • ÉditeurPoutan (Editions du)
  • Directeur scientifiqueDenis Deliguant
  • Directeur scientifiquePierre Martel

Résumé

Issu du rang, simple adjudant en 1914, André Mailler, fait rarissime, terminera la Première Guerre mondiale avec le grade de capitaine. Il est vrai qu'il fit preuve tout au long du conflit d'une véritable soif de servir et de combattre en première ligne. N'hésitant pas à changer d'arme pour arriver à ses fins, il a ainsi combattu sur presque tous les points stratégiques des 765 km de front. Plusieurs fois blessé, cité à l'ordre de l'Armée, décoré de la médaille militaire dès octobre 1914, il est fait chevalier de la Légion d'honneur à Verdun en 1916.
Le présent ouvrage, c'est lui qui l'a écrit afin de témoigner du dévouement des soldats qu'il a côtoyés au cours de ce qu'il qualifie aussi bien de "glorieuse épopée" que de "terrible tourmente". Il le destinait d'abord à ses neveux et nièces, les Cortay de Chambost-Allières ainsi qu'à Pierre Reissier, son beau-frère, maire de Poule-les-Echarmeaux.
Issu du rang, simple adjudant en 1914, André Mailler, fait rarissime, terminera la Première Guerre mondiale avec le grade de capitaine. Il est vrai qu'il fit preuve tout au long du conflit d'une véritable soif de servir et de combattre en première ligne. N'hésitant pas à changer d'arme pour arriver à ses fins, il a ainsi combattu sur presque tous les points stratégiques des 765 km de front. Plusieurs fois blessé, cité à l'ordre de l'Armée, décoré de la médaille militaire dès octobre 1914, il est fait chevalier de la Légion d'honneur à Verdun en 1916.
Le présent ouvrage, c'est lui qui l'a écrit afin de témoigner du dévouement des soldats qu'il a côtoyés au cours de ce qu'il qualifie aussi bien de "glorieuse épopée" que de "terrible tourmente". Il le destinait d'abord à ses neveux et nièces, les Cortay de Chambost-Allières ainsi qu'à Pierre Reissier, son beau-frère, maire de Poule-les-Echarmeaux.