Où l’on apprend plein de choses rigolotes, ou terrifiantes, sur l’histoire des services secrets, ces institutions qui travaillent obstinément à faire qu’on ne comprenne pas bien à quoi elles servent. Où il est permis de comprendre, par exemple, que la « guerre des polices » est une fumisterie. Où, au contraire, on entend parler, pour la première fois depuis longtemps, du 2 bis avenue de Tourville, siège historique de la « sécurité militaire », temple de la barbouzerie gaulliste, et au début du XXIe siècle point de coordination du renseignement occidental.
Où l’on apprend plein de choses rigolotes, ou terrifiantes, sur l’histoire des services secrets, ces institutions qui travaillent obstinément à faire qu’on ne comprenne pas bien à quoi elles servent. Où il est permis de comprendre, par exemple, que la « guerre des polices » est une fumisterie. Où, au contraire, on entend parler, pour la première fois depuis longtemps, du 2 bis avenue de Tourville, siège historique de la « sécurité militaire », temple de la barbouzerie gaulliste, et au début du XXIe siècle point de coordination du renseignement occidental.