1er Rallye Paris-Dakar. Les portes du rêve 23 décembre 1978-14 janvier 1979

Par : Michel Delannoy

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  • Nombre de pages143
  • PrésentationBroché
  • Poids0.635 kg
  • Dimensions20,0 cm × 27,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN2-914920-43-1
  • EAN9782914920438
  • Date de parution01/03/2005
  • ÉditeurPalmier (Editions du)

Résumé

Nous sommes à la veille de Noël 1978, dans la grisaille de l'hiver parisien des motos, des voitures et des camions bariolés s'alignent le long des fontaines du Trocadéro. Les rares badauds ne semblent pas vouloir croire que cette joyeuse bande de farfelus s'apprête à traverser l'Afrique en course. Eux n'en ont cure, ils partent "entre eux", pour le plaisir, pour le soleil, pour la poussière, pour l'aventure. Il y a bien, tant dans les voitures que sur les motos, quelques types expérimentés mais absolument aucun pilote professionnel et les préparations des véhicules sont toujours très simples, voir inexistantes. Une semaine plus tard, les émissions de Max Meynier Sur RTL et les articles des quelques journalistes présents sur la piste vont brusquement transformer cette anodine "balade" en événement numéro un en France. C'est au milieu d'un enthousiasme indescriptible que la petite caravane de clochards au volant ou au guidon d'engins bien éclopés, arrivera sous une pluie totalement inattendue à Dakar... la légende était née. Cette photo, prise le soir de "la grande débâcle" à Nioro du Sahel, illustre à merveille la fraternité qui s'était installée parmi ces aventuriers lancés dans l'inconnu. Frédéric Harrewyn cuisine les ultimes provisions extraites du coffre de notre Toyota pour nourrir un petit groupe où l'on reconnaît de gauche à droite, Albaret, Neveu, Auriol, Ratet, Ignazzi et Martine de Cortanze.
Nous sommes à la veille de Noël 1978, dans la grisaille de l'hiver parisien des motos, des voitures et des camions bariolés s'alignent le long des fontaines du Trocadéro. Les rares badauds ne semblent pas vouloir croire que cette joyeuse bande de farfelus s'apprête à traverser l'Afrique en course. Eux n'en ont cure, ils partent "entre eux", pour le plaisir, pour le soleil, pour la poussière, pour l'aventure. Il y a bien, tant dans les voitures que sur les motos, quelques types expérimentés mais absolument aucun pilote professionnel et les préparations des véhicules sont toujours très simples, voir inexistantes. Une semaine plus tard, les émissions de Max Meynier Sur RTL et les articles des quelques journalistes présents sur la piste vont brusquement transformer cette anodine "balade" en événement numéro un en France. C'est au milieu d'un enthousiasme indescriptible que la petite caravane de clochards au volant ou au guidon d'engins bien éclopés, arrivera sous une pluie totalement inattendue à Dakar... la légende était née. Cette photo, prise le soir de "la grande débâcle" à Nioro du Sahel, illustre à merveille la fraternité qui s'était installée parmi ces aventuriers lancés dans l'inconnu. Frédéric Harrewyn cuisine les ultimes provisions extraites du coffre de notre Toyota pour nourrir un petit groupe où l'on reconnaît de gauche à droite, Albaret, Neveu, Auriol, Ratet, Ignazzi et Martine de Cortanze.