1961-1989 Berlin. Les Annees Du Mur

Par : Bernard Brigouleix

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  • Nombre de pages217
  • PrésentationBroché
  • Poids0.305 kg
  • Dimensions14,6 cm × 22,5 cm × 1,9 cm
  • ISBN2-235-02297-9
  • EAN9782235022972
  • Date de parution15/05/2001
  • Collectionraconter l'histoire
  • ÉditeurTallandier

Résumé

Le 13 août 1961 au petit matin, des soldats de l'armée est-allemande déroulent en plein centre de Berlin des kilomètres de barbelés destinés à mettre fin à l'exode massif des Allemands de l'est qui fuient toujours plus nombreux le régime communiste. Les jours suivants, un mur est érigé qui, dès lors, sera constamment surélevé, renforcé, maillé d'un système infaillible de miradors et de check-points. En quelques minutes, les familles, les amis sont séparés de part et d'autre de cette frontière, l'ancienne capitale du Reich est coupée en deux par une ligne infranchissable qui règle le sort de millions d'individus. Jamais l'expression " rideau de fer " n'a été alors si proche de la réalité. Le mur de Berlin va représenter pendant près de 30 ans l'arbitraire politique, la partie la plus visible de l'oppression communiste et donne à la guerre froide son vrai visage. Jusqu'à sa chute, le 9 novembre 1989, il fut le théâtre de drames humains, de tensions politiques et un terrain de propagande tous azimuts. Personne n'a oublié par exempte le fameux " Ich bin ein Berliner " lancé tout près du mur par Kennedy, en juin 1963. Personne n'a oublié non plus toutes les tentatives de franchissement (on devrait dire " d'évasion ") - sous-marin sous La Spree, tunnels, passages en force, etc. - qui, souvent, finirent dans la ligne de mire des vopos. Personne enfin n'aura oublié les images de cette nuit de l'automne 1989, quand une foule en liesse attaqua au piolet le mur couvert de graffitis. Reste que ce " mur de la honte " comme on eut tôt fait de le baptiser, restera dans les mémoires comme l'un des signes marquants des grandes tragédies totalitaires du siècle en même temps que celui de la volonté folle qu'ont toujours eu les hommes à vivre libres.
Le 13 août 1961 au petit matin, des soldats de l'armée est-allemande déroulent en plein centre de Berlin des kilomètres de barbelés destinés à mettre fin à l'exode massif des Allemands de l'est qui fuient toujours plus nombreux le régime communiste. Les jours suivants, un mur est érigé qui, dès lors, sera constamment surélevé, renforcé, maillé d'un système infaillible de miradors et de check-points. En quelques minutes, les familles, les amis sont séparés de part et d'autre de cette frontière, l'ancienne capitale du Reich est coupée en deux par une ligne infranchissable qui règle le sort de millions d'individus. Jamais l'expression " rideau de fer " n'a été alors si proche de la réalité. Le mur de Berlin va représenter pendant près de 30 ans l'arbitraire politique, la partie la plus visible de l'oppression communiste et donne à la guerre froide son vrai visage. Jusqu'à sa chute, le 9 novembre 1989, il fut le théâtre de drames humains, de tensions politiques et un terrain de propagande tous azimuts. Personne n'a oublié par exempte le fameux " Ich bin ein Berliner " lancé tout près du mur par Kennedy, en juin 1963. Personne n'a oublié non plus toutes les tentatives de franchissement (on devrait dire " d'évasion ") - sous-marin sous La Spree, tunnels, passages en force, etc. - qui, souvent, finirent dans la ligne de mire des vopos. Personne enfin n'aura oublié les images de cette nuit de l'automne 1989, quand une foule en liesse attaqua au piolet le mur couvert de graffitis. Reste que ce " mur de la honte " comme on eut tôt fait de le baptiser, restera dans les mémoires comme l'un des signes marquants des grandes tragédies totalitaires du siècle en même temps que celui de la volonté folle qu'ont toujours eu les hommes à vivre libres.
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