1314 Philippe le Bel et l'Affaire des brus. Nouvelle enquête sur une affaire d'Etat ou pourquoi les femmes n'ont jamais régné en France
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- Nombre de pages368
- PrésentationBroché
- Poids0.47 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,6 cm × 0,0 cm
- ISBN979-10-262-3969-7
- EAN9791026239697
- Date de parution26/09/2019
- CollectionLIB.LITTERATURE
- ÉditeurLibrinova
Résumé
En avril 1314, les trois belles-filles de Philippe le Bel dont Marguerite de Bourgogne, petite-fille de saint Louis, ont été accusées d'adultère et condamnées à des emprisonnements impitoyables. Pendant trois années, elles auraient entretenu une liaison avec les frères d'Aulnay, chevaliers au service des princes. Pourtant, ce scandale survient après d'autres affaires du règne - la chute du Temple et plusieurs procès en hérésie - qui témoignent d'un climat peu favorable à une cour licencieuse.
L'autrice s'est donc interrogée sur le bien-fondé de cette surprenante accusation, dont l'histoire enseigne qu'elle est un moyen couramment utilisé par les hommes pour diffamer les femmes de pouvoir. Au terme d'une enquête minutieuse, elle démontre non seulement que les princesses n'étaient pas coupables du crime d'adultère, mais que des raisons politiques ont conduit à leur élimination. Elle propose une analyse nouvelle de la fin du règne de Philippe le Bel, où les femmes, ignorées par l'historiographie, tiennent une place exceptionnelle.
Cette étude, entièrement référencée par des notes infrapaginales et une bibliographie exhaustive, se veut utile à celles et ceux qui s'intéressent aux princesses et aux reines du Moyen Age, comme au règne de Philippe IV. Elle s'adresse aussi aux lectrices et aux lecteurs curieux d'un nouveau regard sur "les rois maudits" .
L'autrice s'est donc interrogée sur le bien-fondé de cette surprenante accusation, dont l'histoire enseigne qu'elle est un moyen couramment utilisé par les hommes pour diffamer les femmes de pouvoir. Au terme d'une enquête minutieuse, elle démontre non seulement que les princesses n'étaient pas coupables du crime d'adultère, mais que des raisons politiques ont conduit à leur élimination. Elle propose une analyse nouvelle de la fin du règne de Philippe le Bel, où les femmes, ignorées par l'historiographie, tiennent une place exceptionnelle.
Cette étude, entièrement référencée par des notes infrapaginales et une bibliographie exhaustive, se veut utile à celles et ceux qui s'intéressent aux princesses et aux reines du Moyen Age, comme au règne de Philippe IV. Elle s'adresse aussi aux lectrices et aux lecteurs curieux d'un nouveau regard sur "les rois maudits" .
En avril 1314, les trois belles-filles de Philippe le Bel dont Marguerite de Bourgogne, petite-fille de saint Louis, ont été accusées d'adultère et condamnées à des emprisonnements impitoyables. Pendant trois années, elles auraient entretenu une liaison avec les frères d'Aulnay, chevaliers au service des princes. Pourtant, ce scandale survient après d'autres affaires du règne - la chute du Temple et plusieurs procès en hérésie - qui témoignent d'un climat peu favorable à une cour licencieuse.
L'autrice s'est donc interrogée sur le bien-fondé de cette surprenante accusation, dont l'histoire enseigne qu'elle est un moyen couramment utilisé par les hommes pour diffamer les femmes de pouvoir. Au terme d'une enquête minutieuse, elle démontre non seulement que les princesses n'étaient pas coupables du crime d'adultère, mais que des raisons politiques ont conduit à leur élimination. Elle propose une analyse nouvelle de la fin du règne de Philippe le Bel, où les femmes, ignorées par l'historiographie, tiennent une place exceptionnelle.
Cette étude, entièrement référencée par des notes infrapaginales et une bibliographie exhaustive, se veut utile à celles et ceux qui s'intéressent aux princesses et aux reines du Moyen Age, comme au règne de Philippe IV. Elle s'adresse aussi aux lectrices et aux lecteurs curieux d'un nouveau regard sur "les rois maudits" .
L'autrice s'est donc interrogée sur le bien-fondé de cette surprenante accusation, dont l'histoire enseigne qu'elle est un moyen couramment utilisé par les hommes pour diffamer les femmes de pouvoir. Au terme d'une enquête minutieuse, elle démontre non seulement que les princesses n'étaient pas coupables du crime d'adultère, mais que des raisons politiques ont conduit à leur élimination. Elle propose une analyse nouvelle de la fin du règne de Philippe le Bel, où les femmes, ignorées par l'historiographie, tiennent une place exceptionnelle.
Cette étude, entièrement référencée par des notes infrapaginales et une bibliographie exhaustive, se veut utile à celles et ceux qui s'intéressent aux princesses et aux reines du Moyen Age, comme au règne de Philippe IV. Elle s'adresse aussi aux lectrices et aux lecteurs curieux d'un nouveau regard sur "les rois maudits" .