12 ans de téléréalité. Au-delà des critiques morales

Par : Nathalie Nadaud-Albertini

Formats :

Disponible d'occasion :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages280
  • PrésentationBroché
  • Poids0.405 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-86938-210-7
  • EAN9782869382107
  • Date de parution11/07/2013
  • CollectionMédias histoire
  • ÉditeurINA

Résumé

Arrivée en avril 2001 sur nos écrans avec l'émission Loft Story, la télé-réalité a été reçue par une levée de boucliers extrêmement vive. Pourtant, en 2013, ces programmes sont toujours à l’antenne, et surtout, ils figurent parmi les plus regardés. Comment a-t-on su rendre attractives des émissions si décriées ? Comment s’est-on efforcé de rendre éthique un genre polémique et anxiogène ? Comment a-t-on jugulé une controverse née de l’incapacité à saisir la nouveauté autrement que par la crainte et la dénonciation ? Comment a-t-on instauré de la confiance entre les téléspectateurs et des programmes suscitant une méfiance intense ? Comment a-t-on remplacé la crainte de regarder par le plaisir et l’amusement ? C’est à ces questions que cet ouvrage tente de répondre.
Soucieuse de ne pas entrer dans la ronde des critiques sans pour autant tomber dans l’apologie de la télé-réalité, Nathalie Nadaud-Albertini a utilisé une sociologie pragmatiste pour décrire le processus dynamique d’interactions entre les producteurs, les contempteurs et les téléspectateurs-internautes, au terme duquel la télé-réalité s’est adaptée à ses critiques pour se constituer en un genre éthiquement acceptable.
C’est en étudiant les critiques initiales, les programmes de 2001 à 2011, et la réception sur les forums Internet que cet ouvrage décrit le premier défi et le premier moment de la télé-réalité : celui de la quête d’une innocuité morale.
Arrivée en avril 2001 sur nos écrans avec l'émission Loft Story, la télé-réalité a été reçue par une levée de boucliers extrêmement vive. Pourtant, en 2013, ces programmes sont toujours à l’antenne, et surtout, ils figurent parmi les plus regardés. Comment a-t-on su rendre attractives des émissions si décriées ? Comment s’est-on efforcé de rendre éthique un genre polémique et anxiogène ? Comment a-t-on jugulé une controverse née de l’incapacité à saisir la nouveauté autrement que par la crainte et la dénonciation ? Comment a-t-on instauré de la confiance entre les téléspectateurs et des programmes suscitant une méfiance intense ? Comment a-t-on remplacé la crainte de regarder par le plaisir et l’amusement ? C’est à ces questions que cet ouvrage tente de répondre.
Soucieuse de ne pas entrer dans la ronde des critiques sans pour autant tomber dans l’apologie de la télé-réalité, Nathalie Nadaud-Albertini a utilisé une sociologie pragmatiste pour décrire le processus dynamique d’interactions entre les producteurs, les contempteurs et les téléspectateurs-internautes, au terme duquel la télé-réalité s’est adaptée à ses critiques pour se constituer en un genre éthiquement acceptable.
C’est en étudiant les critiques initiales, les programmes de 2001 à 2011, et la réception sur les forums Internet que cet ouvrage décrit le premier défi et le premier moment de la télé-réalité : celui de la quête d’une innocuité morale.