Vivre ou hymne à la vie

Par : Raphaël Délétroz

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Nombre de pages84
  • PrésentationBroché
  • Poids0.124 kg
  • Dimensions21,5 cm × 13,5 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-322-02369-1
  • EAN9782322023691
  • Date de parution24/09/2012
  • ÉditeurBooks on Demand

Résumé

Dieu m'a donné la vie alors que mon ego. N'avait rien demandé, tant pis pour les bigots ! Si la vie est souffrance et que cet Être existe. Pourquoi s'amuse-t-il à me rendre si triste ? Je suis à peine né que ce mot est partout ! Dieu a fait ci, Dieu a fait ça, Dieu entend tout ! Et c'est bien le respect pour ce qu'il véhicule. Qui m'incite à l'écrire avec sa majuscule, Car si j'avais suivi de leurs voix les échos Je n'aurais point vécu, si ce n'est un fiasco.
Chaque prédicateur veut un bout du mystère Quitte à tordre les pans de son cher ministère Pour convaincre ses pairs de sa juste vision. Mais il suit une loi et il n'est qu'un second ! Il convient que le mieux c'est de presser cet Être En espérant trouver les secrets de son prêtre. Et j'ai pressé, sans cesse, et de tout mon espoir ! J'ai trouvé mon écho en tenant mon crachoir. Alors je me suis tu et de mon silence, ivre, Je L'ai vu, me suis vu : j'ai commencé à VIVRE.
Dieu m'a donné la vie alors que mon ego. N'avait rien demandé, tant pis pour les bigots ! Si la vie est souffrance et que cet Être existe. Pourquoi s'amuse-t-il à me rendre si triste ? Je suis à peine né que ce mot est partout ! Dieu a fait ci, Dieu a fait ça, Dieu entend tout ! Et c'est bien le respect pour ce qu'il véhicule. Qui m'incite à l'écrire avec sa majuscule, Car si j'avais suivi de leurs voix les échos Je n'aurais point vécu, si ce n'est un fiasco.
Chaque prédicateur veut un bout du mystère Quitte à tordre les pans de son cher ministère Pour convaincre ses pairs de sa juste vision. Mais il suit une loi et il n'est qu'un second ! Il convient que le mieux c'est de presser cet Être En espérant trouver les secrets de son prêtre. Et j'ai pressé, sans cesse, et de tout mon espoir ! J'ai trouvé mon écho en tenant mon crachoir. Alors je me suis tu et de mon silence, ivre, Je L'ai vu, me suis vu : j'ai commencé à VIVRE.