Paris 1820. L'affirmation de la génération romantique
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- Nombre de pages216
- PrésentationBroché
- Poids0.375 kg
- Dimensions21,0 cm × 14,8 cm × 0,0 cm
- ISBN3-03910-615-5
- EAN9783039106158
- Date de parution01/01/2005
- ÉditeurPeter Lang
Résumé
Dans les années 1820, Paris s'affirme comme l'un des centres culturels les plus dynamiques d'Europe: ses institutions, comme le Salon ou l'Opéra, fonctionnent à plein régime, le mécénat royal encourage les arts, les particuliers, amateurs ou banquiers, constituent d'importantes collections d'art contemporain, la critique s'organise et les batailles du romantisme mêlent le politique et l'artistique.
Toute une génération d'artistes, née vers 1800 et qui a connu la grandeur puis la chute de l'Empire, arrive, à ce moment-là, sur le devant de la scène: Géricault, Delacroix, Victor Hugo, Berlioz... Comment réagit-elle à la nouveauté et à la tradition? Comment s'organise-t-elle? Peut-on parler de solidarités générationnelles? Y a-t-il des comportements communs à tous ces jeunes artistes? Quels rapports entretiennent-ils avec le pouvoir, avec la presse? Depuis une dizaine d'années, les études sur ces questions se sont multipliées.
Cet ouvrage pluridisciplinaire, qui réunit les contributions d'historiens de l'art, d'historiens, de musicologues, français et étrangers, propose une première synthèse tentant de préciser la notion de " romantisme " en France, à partir du concept de génération.
Toute une génération d'artistes, née vers 1800 et qui a connu la grandeur puis la chute de l'Empire, arrive, à ce moment-là, sur le devant de la scène: Géricault, Delacroix, Victor Hugo, Berlioz... Comment réagit-elle à la nouveauté et à la tradition? Comment s'organise-t-elle? Peut-on parler de solidarités générationnelles? Y a-t-il des comportements communs à tous ces jeunes artistes? Quels rapports entretiennent-ils avec le pouvoir, avec la presse? Depuis une dizaine d'années, les études sur ces questions se sont multipliées.
Cet ouvrage pluridisciplinaire, qui réunit les contributions d'historiens de l'art, d'historiens, de musicologues, français et étrangers, propose une première synthèse tentant de préciser la notion de " romantisme " en France, à partir du concept de génération.
Dans les années 1820, Paris s'affirme comme l'un des centres culturels les plus dynamiques d'Europe: ses institutions, comme le Salon ou l'Opéra, fonctionnent à plein régime, le mécénat royal encourage les arts, les particuliers, amateurs ou banquiers, constituent d'importantes collections d'art contemporain, la critique s'organise et les batailles du romantisme mêlent le politique et l'artistique.
Toute une génération d'artistes, née vers 1800 et qui a connu la grandeur puis la chute de l'Empire, arrive, à ce moment-là, sur le devant de la scène: Géricault, Delacroix, Victor Hugo, Berlioz... Comment réagit-elle à la nouveauté et à la tradition? Comment s'organise-t-elle? Peut-on parler de solidarités générationnelles? Y a-t-il des comportements communs à tous ces jeunes artistes? Quels rapports entretiennent-ils avec le pouvoir, avec la presse? Depuis une dizaine d'années, les études sur ces questions se sont multipliées.
Cet ouvrage pluridisciplinaire, qui réunit les contributions d'historiens de l'art, d'historiens, de musicologues, français et étrangers, propose une première synthèse tentant de préciser la notion de " romantisme " en France, à partir du concept de génération.
Toute une génération d'artistes, née vers 1800 et qui a connu la grandeur puis la chute de l'Empire, arrive, à ce moment-là, sur le devant de la scène: Géricault, Delacroix, Victor Hugo, Berlioz... Comment réagit-elle à la nouveauté et à la tradition? Comment s'organise-t-elle? Peut-on parler de solidarités générationnelles? Y a-t-il des comportements communs à tous ces jeunes artistes? Quels rapports entretiennent-ils avec le pouvoir, avec la presse? Depuis une dizaine d'années, les études sur ces questions se sont multipliées.
Cet ouvrage pluridisciplinaire, qui réunit les contributions d'historiens de l'art, d'historiens, de musicologues, français et étrangers, propose une première synthèse tentant de préciser la notion de " romantisme " en France, à partir du concept de génération.