Lea Raso Della Volta est journaliste et criminologue. Titulaire de deux doctorats, elle utilise la linguistique et la sémiotique en criminologie.
Les yakuza, une mafia identitaire. Témoignages de David Cardoso, tatoueur français des yakuza
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- Nombre de pages184
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.255 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-620-2-27919-2
- EAN9786202279192
- Date de parution27/07/2022
- CollectionOMN.UNIV.EUROP.
- ÉditeurUniv Européenne
Résumé
Depuis quelques décennies, le tatouage connaît un engouement sans précédent, en Occident. Autrefois, seuls les marins et certaines populations marginales y avaient recours. Ce qui n'est plus le cas. Au Japon, il s'agit d'un art millénaire qui a revêtu des sens très divers au cours des siècles, mais il passe pour être l'apanage des yakuzas. Marque identitaire, le tatouage, permet de sceller un pacte tacite entre le novice et l'organisation, qui choisit ses tatouages.
Les lois antigang de 1992, on mit un terme à l'influence des yakuzas sur la société nippone et, sous peine d'amende, il est interdit d'arborer des tatouages. Aussi, les membres de l'organisation veillent à ne plus les exhiber en public. David Cardoso fait partie de la confrérie des tatoueurs des yakuzas, il dévoile les pratiques en vigueur au sein de cet univers qui demeure impénétrable à tout occidental, où tatoueurs et yakuza partagent les mêmes codes.
Les lois antigang de 1992, on mit un terme à l'influence des yakuzas sur la société nippone et, sous peine d'amende, il est interdit d'arborer des tatouages. Aussi, les membres de l'organisation veillent à ne plus les exhiber en public. David Cardoso fait partie de la confrérie des tatoueurs des yakuzas, il dévoile les pratiques en vigueur au sein de cet univers qui demeure impénétrable à tout occidental, où tatoueurs et yakuza partagent les mêmes codes.
Depuis quelques décennies, le tatouage connaît un engouement sans précédent, en Occident. Autrefois, seuls les marins et certaines populations marginales y avaient recours. Ce qui n'est plus le cas. Au Japon, il s'agit d'un art millénaire qui a revêtu des sens très divers au cours des siècles, mais il passe pour être l'apanage des yakuzas. Marque identitaire, le tatouage, permet de sceller un pacte tacite entre le novice et l'organisation, qui choisit ses tatouages.
Les lois antigang de 1992, on mit un terme à l'influence des yakuzas sur la société nippone et, sous peine d'amende, il est interdit d'arborer des tatouages. Aussi, les membres de l'organisation veillent à ne plus les exhiber en public. David Cardoso fait partie de la confrérie des tatoueurs des yakuzas, il dévoile les pratiques en vigueur au sein de cet univers qui demeure impénétrable à tout occidental, où tatoueurs et yakuza partagent les mêmes codes.
Les lois antigang de 1992, on mit un terme à l'influence des yakuzas sur la société nippone et, sous peine d'amende, il est interdit d'arborer des tatouages. Aussi, les membres de l'organisation veillent à ne plus les exhiber en public. David Cardoso fait partie de la confrérie des tatoueurs des yakuzas, il dévoile les pratiques en vigueur au sein de cet univers qui demeure impénétrable à tout occidental, où tatoueurs et yakuza partagent les mêmes codes.