Moi j'ai beaucoup aimé et je ne comprends pas certains commentaires...Ce qui est fascinant, c’est de voir à quel point certains lecteurs se reconnaissent dans des personnages fictifs. Cela prouve que l’auteur a une capacité remarquable à dépeindre des traits humains si universels qu’ils en deviennent des miroirs pour certains.
Mais n’est-ce pas là le rôle de la littérature ? Bousculer, provoquer, interroger ? Il faut un certain courage pour explorer des vérités que d’autres préfèrent taire, tout comme il faut une certaine grandeur d’âme pour accepter ces vérités sans sombrer dans l’invective.
Il est aussi intéressant de constater à quel point la critique littéraire peut parfois se confondre avec une projection personnelle. Confondre fiction et réalité, ou encore interprétation et rancune, témoigne d’une lecture, disons… passionnée, mais peut-être un peu hâtive. Cela dit, chacun exprime ses émotions comme il le peut – certains à travers la création, d’autres à travers des commentaires.
Quant à l’intelligence et au savoir-vivre, il est amusant de les voir évoqués dans une diatribe qui, bien qu’intense, manque cruellement des deux. Cela illustre finalement l’idée que chaque critique parle moins du livre que de celui qui la formule. Un livre de cette qualité a au moins le mérite d’ouvrir ce genre de débat… même s’il manque parfois de hauteur et de réflexion.
Moi j'ai beaucoup aimé et je ne comprends pas certains commentaires...Ce qui est fascinant, c’est de voir à quel point certains lecteurs se reconnaissent dans des personnages fictifs. Cela prouve que l’auteur a une capacité remarquable à dépeindre des traits humains si universels qu’ils en deviennent des miroirs pour certains.
Mais n’est-ce pas là le rôle de la littérature ? Bousculer, provoquer, interroger ? Il faut un certain courage pour explorer des vérités que d’autres préfèrent taire, tout comme il faut une certaine grandeur d’âme pour accepter ces vérités sans sombrer dans l’invective.
Il est aussi intéressant de constater à quel point la critique littéraire peut parfois se confondre avec une projection personnelle. Confondre fiction et réalité, ou encore interprétation et rancune, témoigne d’une lecture, disons… passionnée, mais peut-être un peu hâtive. Cela dit, chacun exprime ses émotions comme il le peut – certains à travers la création, d’autres à travers des commentaires.
Quant à l’intelligence et au savoir-vivre, il est amusant de les voir évoqués dans une diatribe qui, bien qu’intense, manque cruellement des deux. Cela illustre finalement l’idée que chaque critique parle moins du livre que de celui qui la formule. Un livre de cette qualité a au moins le mérite d’ouvrir ce genre de débat… même s’il manque parfois de hauteur et de réflexion.