Le patois bourguignon

Par : Anatole Perrault-dabot

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  • Nombre de pages88
  • PrésentationBroché
  • Poids0.3 kg
  • Dimensions15,6 cm × 23,4 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-491068-58-5
  • EAN9782491068585
  • Date de parution25/02/2023
  • ÉditeurJALON

Résumé

Anatole Perrault-Dabot est d'abord un bourguignon de naissance, très attaché au village de son enfance, Rully en Saône-et-Loire. Mais, il ne se contente pas, comme d'autres auteurs, de composer un simple lexique du parler de son "petit pays" . Il se fixe un objectif plus ambitieux qui consiste à définir le coeur du parler bourguignon considéré comme une langue régionale. Il regroupe donc les variations locales propres à chaque contrée et écarte les simples déformations de mots français.
Il s'attache aussi à éclairer l'origine des termes de ce noyau du parler bourguignon, qui en comporte 195, dont il précise les lieux d'utilisation : Côte-d'Or, Chalonnais, Charollais, Bresse, Morvan, Dijonnais, Yonne.
Anatole Perrault-Dabot est d'abord un bourguignon de naissance, très attaché au village de son enfance, Rully en Saône-et-Loire. Mais, il ne se contente pas, comme d'autres auteurs, de composer un simple lexique du parler de son "petit pays" . Il se fixe un objectif plus ambitieux qui consiste à définir le coeur du parler bourguignon considéré comme une langue régionale. Il regroupe donc les variations locales propres à chaque contrée et écarte les simples déformations de mots français.
Il s'attache aussi à éclairer l'origine des termes de ce noyau du parler bourguignon, qui en comporte 195, dont il précise les lieux d'utilisation : Côte-d'Or, Chalonnais, Charollais, Bresse, Morvan, Dijonnais, Yonne.
Anatole Perrault-Dabot voit le jour à Chagny (Saône-et-Loire) en 1853, dans une famille qui a ses racines tout à côté, à Rully. Après des études de droit et à l'École du Louvre, il entre dans l'administration des Beaux-Arts en 1883. Deux ans plus tard, il devient archiviste de la Commission des monuments historiques, puis inspecteur des monuments historiques en 1907. Il y reste jusqu'à sa retraite en 1919. Ses missions d'inspection se déroulent surtout en Bourgogne et dans le Sud-Est de la France. Il en rend compte dans de nombreux articles dans des revues savantes et dans une dizaine d'ouvrages.