Ingénieur des Mines de formation, Jean-Marc Veran a également suivi des études de théologie qui l'ont conduit à obtenir une maîtrise de théologie et d'anthropologie philosophique de l'Université de Lorraine (France) ainsi qu'une licence canonique à l'Université dominicaine (Rome) dans le cadre de Domuni Universitas. Il consacre une grande partie de son temps à différents sujets parmi lesquels, la rhétorique du discours prophétique de l'Ancien Testament, les thèmes théologiques qui sous-tendent l'organisation du psautier et les structures littéraires à la base des Évangiles synoptiques. En outre, il anime régulièrement des rencontres bibliques depuis une douzaine d'années dans le diocèse de Bordeaux.
Le Dieu de mon salut. Lecture commentée des Psaumes 3 à 8
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- Nombre de pages248
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.4 kg
- Dimensions15,5 cm × 22,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-322-40994-5
- EAN9782322409945
- Date de parution11/01/2022
- ÉditeurBooks on Demand
Résumé
En tournant notre regard sur les quelques décennies que nous venons de vivre, l'on ne peut que s'interroger sur la désaffection d'un certain nombre de nos contemporains à l'égard de l'Eglise. L'auteur, réfléchissant aux causes de ce phénomène, l'a interprété comme l'affadissement de notre espérance dans le salut de Dieu. Cette espérance est-elle encore vivante en nous ? Le salut est-il toujours au coeur de notre foi ? Questions d'autant plus prégnantes et graves que si elles ne l'étaient plus nous devrions reconnaître que le Christ serait mort pour rien.
Toutefois, l'auteur ne cherche pas à dresser une analyse de ce phénomène ni à produire un traité théologique sur la nature du salut, mais propose, à tout un chacun, de s'engager sur un chemin de réappropriation de son espérance, en découvrant, ou redécouvrant, le témoignage que quelques hommes du passé nous ont laissé de celle-ci dans les Ecritures et tout particulièrement dans le livre des Psaumes.
Qu'est-ce que les Psaumes nous disent du vécu de l'espérance du salut ? Qui sauve ? Pourquoi ? Comment ? Devons-nous craindre le jugement du Seigneur ? Nous sauvera-t-il malgré notre inconstance ? Nos larmes ont-elles la capacité à l'émouvoir et nos prières de le persuader de ne pas nous abandonner au néant de la mort ? Autant de questions qui, il y a plus de deux mille ans, taraudaient ces hommes, qui debout sur le parvis du Temple de Jérusalem, ne quittaient pas du regard la demeure de leur Dieu en guettant sa réponse.
Face à leurs désarrois, il revint à quelques hommes, portés par leur foi, la lumière du Seigneur et une longue fréquentation de l'Ecriture, d'y répondre en rédigeant de petites prières individuelles ou collectives qui furent nommées "psaumes". Ces dernières étaient données à chacun qui, se les appropriant, en faisait le corps de leurs entretiens avec leur Seigneur et un lieu de repos au milieu des vicissitudes de leur existence.
C'est donc au partage de la quête spirituelle de ceux qui les ont reçus que ces pages nous convient. Invitation d'autant plus pressante que l'homme et la femme d'aujourd'hui peuvent difficilement nier qu'ils ne sont pas déchirés par ces mêmes interrogations.
Toutefois, l'auteur ne cherche pas à dresser une analyse de ce phénomène ni à produire un traité théologique sur la nature du salut, mais propose, à tout un chacun, de s'engager sur un chemin de réappropriation de son espérance, en découvrant, ou redécouvrant, le témoignage que quelques hommes du passé nous ont laissé de celle-ci dans les Ecritures et tout particulièrement dans le livre des Psaumes.
Qu'est-ce que les Psaumes nous disent du vécu de l'espérance du salut ? Qui sauve ? Pourquoi ? Comment ? Devons-nous craindre le jugement du Seigneur ? Nous sauvera-t-il malgré notre inconstance ? Nos larmes ont-elles la capacité à l'émouvoir et nos prières de le persuader de ne pas nous abandonner au néant de la mort ? Autant de questions qui, il y a plus de deux mille ans, taraudaient ces hommes, qui debout sur le parvis du Temple de Jérusalem, ne quittaient pas du regard la demeure de leur Dieu en guettant sa réponse.
Face à leurs désarrois, il revint à quelques hommes, portés par leur foi, la lumière du Seigneur et une longue fréquentation de l'Ecriture, d'y répondre en rédigeant de petites prières individuelles ou collectives qui furent nommées "psaumes". Ces dernières étaient données à chacun qui, se les appropriant, en faisait le corps de leurs entretiens avec leur Seigneur et un lieu de repos au milieu des vicissitudes de leur existence.
C'est donc au partage de la quête spirituelle de ceux qui les ont reçus que ces pages nous convient. Invitation d'autant plus pressante que l'homme et la femme d'aujourd'hui peuvent difficilement nier qu'ils ne sont pas déchirés par ces mêmes interrogations.
En tournant notre regard sur les quelques décennies que nous venons de vivre, l'on ne peut que s'interroger sur la désaffection d'un certain nombre de nos contemporains à l'égard de l'Eglise. L'auteur, réfléchissant aux causes de ce phénomène, l'a interprété comme l'affadissement de notre espérance dans le salut de Dieu. Cette espérance est-elle encore vivante en nous ? Le salut est-il toujours au coeur de notre foi ? Questions d'autant plus prégnantes et graves que si elles ne l'étaient plus nous devrions reconnaître que le Christ serait mort pour rien.
Toutefois, l'auteur ne cherche pas à dresser une analyse de ce phénomène ni à produire un traité théologique sur la nature du salut, mais propose, à tout un chacun, de s'engager sur un chemin de réappropriation de son espérance, en découvrant, ou redécouvrant, le témoignage que quelques hommes du passé nous ont laissé de celle-ci dans les Ecritures et tout particulièrement dans le livre des Psaumes.
Qu'est-ce que les Psaumes nous disent du vécu de l'espérance du salut ? Qui sauve ? Pourquoi ? Comment ? Devons-nous craindre le jugement du Seigneur ? Nous sauvera-t-il malgré notre inconstance ? Nos larmes ont-elles la capacité à l'émouvoir et nos prières de le persuader de ne pas nous abandonner au néant de la mort ? Autant de questions qui, il y a plus de deux mille ans, taraudaient ces hommes, qui debout sur le parvis du Temple de Jérusalem, ne quittaient pas du regard la demeure de leur Dieu en guettant sa réponse.
Face à leurs désarrois, il revint à quelques hommes, portés par leur foi, la lumière du Seigneur et une longue fréquentation de l'Ecriture, d'y répondre en rédigeant de petites prières individuelles ou collectives qui furent nommées "psaumes". Ces dernières étaient données à chacun qui, se les appropriant, en faisait le corps de leurs entretiens avec leur Seigneur et un lieu de repos au milieu des vicissitudes de leur existence.
C'est donc au partage de la quête spirituelle de ceux qui les ont reçus que ces pages nous convient. Invitation d'autant plus pressante que l'homme et la femme d'aujourd'hui peuvent difficilement nier qu'ils ne sont pas déchirés par ces mêmes interrogations.
Toutefois, l'auteur ne cherche pas à dresser une analyse de ce phénomène ni à produire un traité théologique sur la nature du salut, mais propose, à tout un chacun, de s'engager sur un chemin de réappropriation de son espérance, en découvrant, ou redécouvrant, le témoignage que quelques hommes du passé nous ont laissé de celle-ci dans les Ecritures et tout particulièrement dans le livre des Psaumes.
Qu'est-ce que les Psaumes nous disent du vécu de l'espérance du salut ? Qui sauve ? Pourquoi ? Comment ? Devons-nous craindre le jugement du Seigneur ? Nous sauvera-t-il malgré notre inconstance ? Nos larmes ont-elles la capacité à l'émouvoir et nos prières de le persuader de ne pas nous abandonner au néant de la mort ? Autant de questions qui, il y a plus de deux mille ans, taraudaient ces hommes, qui debout sur le parvis du Temple de Jérusalem, ne quittaient pas du regard la demeure de leur Dieu en guettant sa réponse.
Face à leurs désarrois, il revint à quelques hommes, portés par leur foi, la lumière du Seigneur et une longue fréquentation de l'Ecriture, d'y répondre en rédigeant de petites prières individuelles ou collectives qui furent nommées "psaumes". Ces dernières étaient données à chacun qui, se les appropriant, en faisait le corps de leurs entretiens avec leur Seigneur et un lieu de repos au milieu des vicissitudes de leur existence.
C'est donc au partage de la quête spirituelle de ceux qui les ont reçus que ces pages nous convient. Invitation d'autant plus pressante que l'homme et la femme d'aujourd'hui peuvent difficilement nier qu'ils ne sont pas déchirés par ces mêmes interrogations.