La Persécution des Païens dans l'Empire Romain et l'Europe du Moyen Age

Par : Benjamin Gras

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Nombre de pages143
  • PrésentationBroché
  • Poids0.205 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-7480-2266-1
  • EAN9782748022667
  • Date de parution01/07/2005
  • ÉditeurSociété des Ecrivains

Résumé

A lire l'hagiographie catholique, on a l'impression que la christianisation de l'Empire romain s'est faite sans heurt ni bévue, après l'arrivée au pouvoir du premier empereur chrétien. Or, à reconsidérer les sources antiques, païennes comme chrétiennes, il apparaît clairement que les empereurs chrétiens et l'Eglise catholique ont eu recours, pour ce faire, à de violentes campagnes d'éradication contre les païens. Ces derniers furent en outre écrasés, au propre comme au figuré, sous un déluge de lois et de rescrits les condamnant à l'infamie puis à la peine capitale pour délit d'opinion. Depuis l'usurpation de Constantin, le premier empereur chrétien, jusqu'au quasi-génocide des Lituaniens par les chevaliers teutoniques, nous allons donc retracer, d'un point de vue païen, les étapes de la persécution du paganisme et pointer du doigt la responsabilité de l'Eglise catholique dans cette entreprise. Responsabilité trop longtemps niée du fait de l'omnipotence dont a joui, pendant des siècles, cette organisation.
A lire l'hagiographie catholique, on a l'impression que la christianisation de l'Empire romain s'est faite sans heurt ni bévue, après l'arrivée au pouvoir du premier empereur chrétien. Or, à reconsidérer les sources antiques, païennes comme chrétiennes, il apparaît clairement que les empereurs chrétiens et l'Eglise catholique ont eu recours, pour ce faire, à de violentes campagnes d'éradication contre les païens. Ces derniers furent en outre écrasés, au propre comme au figuré, sous un déluge de lois et de rescrits les condamnant à l'infamie puis à la peine capitale pour délit d'opinion. Depuis l'usurpation de Constantin, le premier empereur chrétien, jusqu'au quasi-génocide des Lituaniens par les chevaliers teutoniques, nous allons donc retracer, d'un point de vue païen, les étapes de la persécution du paganisme et pointer du doigt la responsabilité de l'Eglise catholique dans cette entreprise. Responsabilité trop longtemps niée du fait de l'omnipotence dont a joui, pendant des siècles, cette organisation.