Franck Guarnieri est directeur de recherche à MINES ParisTech. Il dirigele Centre de recherche sur les Risques et les Crises (CRC).
L'accident de Fukushima Dai Ichi. Le récit du directeur de la centrale Volume 1, L'anéantissement
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- Nombre de pages341
- PrésentationBroché
- Poids0.54 kg
- Dimensions15,8 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-35671-205-9
- EAN9782356712059
- Date de parution26/03/2015
- CollectionLibres opinions
- ÉditeurPresses des Mines
Résumé
Le 11 mars 2011, le Japon subit l'un des séismes les plus importants de l'histoire. Il est suivi d'un tsunami de grande amplitude. Ce double événement fait plus de 18000 morts et provoque d'importants dégâts matériels. Cinq centrales nucléaires sont notamment touchées par le sinistre. L'une d'entre elles, Fukushima Dai Ichi, est confrontée à une situation d'urgence nucléaire. Trois réacteurs entrent en fusion et des explosions se produisent dans trois bâtiments réacteurs.
Malgré la gravité de l'accident — rapidement comparé dans les médias à celui de Tchernobyl — le pire est pourtant évité. Evité grâce au courage et à l'action d'une poignée d'hommes restés aux commandes de la centrale. Ils sont dirigés par Masao Yoshida, le directeur de Fukushima Dai Ichi. Cet ouvrage propose au lecteur un récit inédit. Le témoignage, traduit du japonais, de Yoshida à la commission d'enquête gouvernementale sur l'accident.
Plus de 400 pages qui dévoilent une autre histoire : celle d'une équipe de travailleurs confrontés à un désastre annoncé. Une histoire qui, du reste, peut se lire comme un grand roman technique. Face à l'ampleur du chantier de traduction et d'analyse, nous avons choisi de diviser ce projet éditorial en quatre volumes. Ce premier volume, sous-titré «L'anéantissement», aborde l'incidence de la catastrophe naturelle sur les installations et le début de l'accident nucléaire.
Il expose en outre deux concepts : celui d'ingénierie de l'urgence et de situation extrême.
Malgré la gravité de l'accident — rapidement comparé dans les médias à celui de Tchernobyl — le pire est pourtant évité. Evité grâce au courage et à l'action d'une poignée d'hommes restés aux commandes de la centrale. Ils sont dirigés par Masao Yoshida, le directeur de Fukushima Dai Ichi. Cet ouvrage propose au lecteur un récit inédit. Le témoignage, traduit du japonais, de Yoshida à la commission d'enquête gouvernementale sur l'accident.
Plus de 400 pages qui dévoilent une autre histoire : celle d'une équipe de travailleurs confrontés à un désastre annoncé. Une histoire qui, du reste, peut se lire comme un grand roman technique. Face à l'ampleur du chantier de traduction et d'analyse, nous avons choisi de diviser ce projet éditorial en quatre volumes. Ce premier volume, sous-titré «L'anéantissement», aborde l'incidence de la catastrophe naturelle sur les installations et le début de l'accident nucléaire.
Il expose en outre deux concepts : celui d'ingénierie de l'urgence et de situation extrême.
Le 11 mars 2011, le Japon subit l'un des séismes les plus importants de l'histoire. Il est suivi d'un tsunami de grande amplitude. Ce double événement fait plus de 18000 morts et provoque d'importants dégâts matériels. Cinq centrales nucléaires sont notamment touchées par le sinistre. L'une d'entre elles, Fukushima Dai Ichi, est confrontée à une situation d'urgence nucléaire. Trois réacteurs entrent en fusion et des explosions se produisent dans trois bâtiments réacteurs.
Malgré la gravité de l'accident — rapidement comparé dans les médias à celui de Tchernobyl — le pire est pourtant évité. Evité grâce au courage et à l'action d'une poignée d'hommes restés aux commandes de la centrale. Ils sont dirigés par Masao Yoshida, le directeur de Fukushima Dai Ichi. Cet ouvrage propose au lecteur un récit inédit. Le témoignage, traduit du japonais, de Yoshida à la commission d'enquête gouvernementale sur l'accident.
Plus de 400 pages qui dévoilent une autre histoire : celle d'une équipe de travailleurs confrontés à un désastre annoncé. Une histoire qui, du reste, peut se lire comme un grand roman technique. Face à l'ampleur du chantier de traduction et d'analyse, nous avons choisi de diviser ce projet éditorial en quatre volumes. Ce premier volume, sous-titré «L'anéantissement», aborde l'incidence de la catastrophe naturelle sur les installations et le début de l'accident nucléaire.
Il expose en outre deux concepts : celui d'ingénierie de l'urgence et de situation extrême.
Malgré la gravité de l'accident — rapidement comparé dans les médias à celui de Tchernobyl — le pire est pourtant évité. Evité grâce au courage et à l'action d'une poignée d'hommes restés aux commandes de la centrale. Ils sont dirigés par Masao Yoshida, le directeur de Fukushima Dai Ichi. Cet ouvrage propose au lecteur un récit inédit. Le témoignage, traduit du japonais, de Yoshida à la commission d'enquête gouvernementale sur l'accident.
Plus de 400 pages qui dévoilent une autre histoire : celle d'une équipe de travailleurs confrontés à un désastre annoncé. Une histoire qui, du reste, peut se lire comme un grand roman technique. Face à l'ampleur du chantier de traduction et d'analyse, nous avons choisi de diviser ce projet éditorial en quatre volumes. Ce premier volume, sous-titré «L'anéantissement», aborde l'incidence de la catastrophe naturelle sur les installations et le début de l'accident nucléaire.
Il expose en outre deux concepts : celui d'ingénierie de l'urgence et de situation extrême.