Inceste, pédocriminalité. Crimes contre l'humanité

Par : Illel Kieser 'l Baz
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Nombre de pages304
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.485 kg
  • Dimensions15,5 cm × 22,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-900229-01-9
  • EAN9782900229019
  • Date de parution24/01/2019
  • ÉditeurLierre & Coudrier éditeur

Résumé

La pédocriminalité, la maltraitance sexuelle des enfants et l'inceste ne relève pas d'une criminalité ordinaire. Ces offenses et ces crimes s'inscrivent dans le droit fil de la banalisation du mal qu'évoquait Hannah Arendt dans l'immédiat après-guerre. Si le législateur français est parvenu à reconnaître le crime d'inceste c'est sans se donner les moyens pour faire respecter ses lois. Négligence qui n'est pas innocente car, sur le terrain, les protecteurs.es de l'enfance mesure combien un lourd déni pèse sur ces faits.
Affaires étouffées, signalements classés sans suite, parents protecteurs mis en danger, humiliés au profit de prédateurs tout puissants. Le malaise est collectif, il atteint l'ensemble de nos sociétés. C'est bien pourquoi les lois ne suffisent pas quand il s'agit de contrer les groupes d'influence masculinistes qui ont très vite réagit aux mouvements initiés par #metoo. La question à se poser est celle d'une mutation dramatique de la civilisation, qui de protectrice devient prédatrice.
La pédocriminalité, la maltraitance sexuelle des enfants et l'inceste ne relève pas d'une criminalité ordinaire. Ces offenses et ces crimes s'inscrivent dans le droit fil de la banalisation du mal qu'évoquait Hannah Arendt dans l'immédiat après-guerre. Si le législateur français est parvenu à reconnaître le crime d'inceste c'est sans se donner les moyens pour faire respecter ses lois. Négligence qui n'est pas innocente car, sur le terrain, les protecteurs.es de l'enfance mesure combien un lourd déni pèse sur ces faits.
Affaires étouffées, signalements classés sans suite, parents protecteurs mis en danger, humiliés au profit de prédateurs tout puissants. Le malaise est collectif, il atteint l'ensemble de nos sociétés. C'est bien pourquoi les lois ne suffisent pas quand il s'agit de contrer les groupes d'influence masculinistes qui ont très vite réagit aux mouvements initiés par #metoo. La question à se poser est celle d'une mutation dramatique de la civilisation, qui de protectrice devient prédatrice.