Histoire de la marine allemande. 1939-1945

Par : François-Emmanuel Brézet

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  • Nombre de pages398
  • PrésentationBroché
  • Poids0.595 kg
  • Dimensions14,1 cm × 22,5 cm × 3,6 cm
  • ISBN2-262-01337-3
  • EAN9782262013370
  • Date de parution16/09/1999
  • ÉditeurPerrin

Résumé

S'il existe des récits épiques sur les combats des sous-marins allemands, il n'existait pas, jusqu'à cet ouvrage, d'histoire générale et sérieuse de la marine du IIIe Reich. En septembre 1939, la marine allemande, la Kriegsmarine, comme on l'appelait depuis 1935, entrait dans une guerre à laquelle elle n'avait pas eu le temps de se préparer. Face à l'immense supériorité des flottes alliées de l'Angleterre et de la France, elle ne paraissait pas avoir d'autre choix, comme l'écrivait alors son propre chef l'amiral Erich Raeder, que "d'aller par le fond avec honneur". En s'appuyant sur des sources peu connues en France, François-Emmanuel Brézet nous explique pourquoi elle fit beaucoup mieux et combattit avec âpreté jusqu'à la fin du conflit. La stratégie, conçue par Raeder lui-même, d'attaque coordonnée des voies de communication de l'adversaire, fut appliquée avec une remarquable pugnacité. Les "cuirassés de poche", comme le Graf Spee et l'Admiral Scheer, les grands bâtiments de combat comme le Bismarck, le Tirpitz, le Schamhorst et le Neisenau, les raiders de surface constitueront une source de soucis constants pour les marines alliées. Engagés le plus souvent dans les combats sans espoir, la plupart furent finalement détruits. Quant à la guerre sous-marine conduite par l'amiral Dönitz, elle ne manquera que de peu son objectif de rupture des communications alliées dans l'océan Atlantique, mais cela au prix de pertes considérables. L'auteur jette aussi un éclairage nouveau sur les relations difficiles entre la Kriegsmarine et le chef de la Luftwaffe, le maréchal Göring, sur les personnalités si différentes des deux grands amiraux Raeder et Dönitz, sur leurs rapports conflictuels ou de connivence avec le Führer et les conséquences parfois dramatiques qu'ils ont eues sur la conduite de la guerre sur mer.
S'il existe des récits épiques sur les combats des sous-marins allemands, il n'existait pas, jusqu'à cet ouvrage, d'histoire générale et sérieuse de la marine du IIIe Reich. En septembre 1939, la marine allemande, la Kriegsmarine, comme on l'appelait depuis 1935, entrait dans une guerre à laquelle elle n'avait pas eu le temps de se préparer. Face à l'immense supériorité des flottes alliées de l'Angleterre et de la France, elle ne paraissait pas avoir d'autre choix, comme l'écrivait alors son propre chef l'amiral Erich Raeder, que "d'aller par le fond avec honneur". En s'appuyant sur des sources peu connues en France, François-Emmanuel Brézet nous explique pourquoi elle fit beaucoup mieux et combattit avec âpreté jusqu'à la fin du conflit. La stratégie, conçue par Raeder lui-même, d'attaque coordonnée des voies de communication de l'adversaire, fut appliquée avec une remarquable pugnacité. Les "cuirassés de poche", comme le Graf Spee et l'Admiral Scheer, les grands bâtiments de combat comme le Bismarck, le Tirpitz, le Schamhorst et le Neisenau, les raiders de surface constitueront une source de soucis constants pour les marines alliées. Engagés le plus souvent dans les combats sans espoir, la plupart furent finalement détruits. Quant à la guerre sous-marine conduite par l'amiral Dönitz, elle ne manquera que de peu son objectif de rupture des communications alliées dans l'océan Atlantique, mais cela au prix de pertes considérables. L'auteur jette aussi un éclairage nouveau sur les relations difficiles entre la Kriegsmarine et le chef de la Luftwaffe, le maréchal Göring, sur les personnalités si différentes des deux grands amiraux Raeder et Dönitz, sur leurs rapports conflictuels ou de connivence avec le Führer et les conséquences parfois dramatiques qu'ils ont eues sur la conduite de la guerre sur mer.
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