Hérodote N° 123, 4e trimestre
Amérique latine. Nouvelle géopolitique
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- Nombre de pages235
- PrésentationBroché
- Poids0.35 kg
- Dimensions17,0 cm × 20,0 cm × 1,2 cm
- ISBN2-7071-5003-7
- EAN9782707150035
- Date de parution07/12/2006
- ÉditeurLa Découverte
Résumé
Hugo Chavez au Venezuela, Evo Morales en Bolivie, Michelle Bachelet au Chili, Luis Ignacio Lula da Silva au Brésil, Alan Garcia au Pérou, Nestor Kirchner en Argentine : autant de chefs d'Etat latino-américains qui se revendiquent désormais de la gauche, les uns étant des sociaux-démocrates, d'autres des populistes de gauche. Le temps du libéralisme triomphant des années 1990 en Amérique latine semble dépassé.
La gravité de la crise économique argentine a sans nul doute contribué à renforcer le discrédit des pratiques du Fonds monétaire international (FMI), à remettre en cause le bien-fondé des privatisations. Le modèle économique imposé par les Américains des Etats-Unis est fortement rejeté, au profit d'un nationalisme économique affirmé. On est loin du " projet des Amériques " porté par les Etats-Unis dans les années 1990, mais l'alliance bolivarienne prônée par Hugo Chavez risque de ne pas connaître une plus grande réussite.
Ainsi, les pétrodollars vénézuéliens et l'affirmation d'un anti-impérialisme radical n'ont pas réussi à faire élire le Péruvien Ollanta Humana, poulain du dirigeant vénézuélien. Ce sont certains des enjeux de ces évolutions qu'explore ce numéro d'Hérodote.
La gravité de la crise économique argentine a sans nul doute contribué à renforcer le discrédit des pratiques du Fonds monétaire international (FMI), à remettre en cause le bien-fondé des privatisations. Le modèle économique imposé par les Américains des Etats-Unis est fortement rejeté, au profit d'un nationalisme économique affirmé. On est loin du " projet des Amériques " porté par les Etats-Unis dans les années 1990, mais l'alliance bolivarienne prônée par Hugo Chavez risque de ne pas connaître une plus grande réussite.
Ainsi, les pétrodollars vénézuéliens et l'affirmation d'un anti-impérialisme radical n'ont pas réussi à faire élire le Péruvien Ollanta Humana, poulain du dirigeant vénézuélien. Ce sont certains des enjeux de ces évolutions qu'explore ce numéro d'Hérodote.
Hugo Chavez au Venezuela, Evo Morales en Bolivie, Michelle Bachelet au Chili, Luis Ignacio Lula da Silva au Brésil, Alan Garcia au Pérou, Nestor Kirchner en Argentine : autant de chefs d'Etat latino-américains qui se revendiquent désormais de la gauche, les uns étant des sociaux-démocrates, d'autres des populistes de gauche. Le temps du libéralisme triomphant des années 1990 en Amérique latine semble dépassé.
La gravité de la crise économique argentine a sans nul doute contribué à renforcer le discrédit des pratiques du Fonds monétaire international (FMI), à remettre en cause le bien-fondé des privatisations. Le modèle économique imposé par les Américains des Etats-Unis est fortement rejeté, au profit d'un nationalisme économique affirmé. On est loin du " projet des Amériques " porté par les Etats-Unis dans les années 1990, mais l'alliance bolivarienne prônée par Hugo Chavez risque de ne pas connaître une plus grande réussite.
Ainsi, les pétrodollars vénézuéliens et l'affirmation d'un anti-impérialisme radical n'ont pas réussi à faire élire le Péruvien Ollanta Humana, poulain du dirigeant vénézuélien. Ce sont certains des enjeux de ces évolutions qu'explore ce numéro d'Hérodote.
La gravité de la crise économique argentine a sans nul doute contribué à renforcer le discrédit des pratiques du Fonds monétaire international (FMI), à remettre en cause le bien-fondé des privatisations. Le modèle économique imposé par les Américains des Etats-Unis est fortement rejeté, au profit d'un nationalisme économique affirmé. On est loin du " projet des Amériques " porté par les Etats-Unis dans les années 1990, mais l'alliance bolivarienne prônée par Hugo Chavez risque de ne pas connaître une plus grande réussite.
Ainsi, les pétrodollars vénézuéliens et l'affirmation d'un anti-impérialisme radical n'ont pas réussi à faire élire le Péruvien Ollanta Humana, poulain du dirigeant vénézuélien. Ce sont certains des enjeux de ces évolutions qu'explore ce numéro d'Hérodote.