Expédition au Cho Oyu, 8201 mètres

Par : Arnaud Pasquer

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  • Nombre de pages242
  • PrésentationBroché
  • Poids0.339 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-7483-6161-2
  • EAN9782748361612
  • Date de parution28/02/2011
  • ÉditeurPublibook/Société écrivains

Résumé

« L’aventure racontée dans ce carnet de voyage m’aura procuré de nombreux motifs de satisfaction. Satisfaction d’avoir réussi ce que j’avais entrepris tout d’abord : cette satisfaction-là est indescriptible. J’ai ressenti un grand assouvissement personnel, une grande fierté, même. Devoir se battre pour un objectif que l’on s’est fixé, y mettre toute son énergie et finalement réussir, cela procure des sensations intenses.
Mais réussir alors que l’on a risqué sa vie, et que peu de gens y arrivent, ajoute encore du bonheur à cela. Satisfaction, ensuite, d’avoir observé depuis le toit du monde des paysages de montagne magnifiques, et vécu de vrais instants de plaisir qui ont su faire oublier la souffrance et les moments durs. Satisfaction enfin de l’avoir accompli sans oxygène ni sherpas. Sur le Cho Oyu, nous avons pris conscience des écarts énormes qu’il y avait en termes d’organisation et de moyens entre les expéditions.
« Faire un sommet » ne veut pas dire grand-chose. « Dans quelles conditions ? » est plus significatif. Ma plus grande satisfaction, finalement, c’est que nous étions la plus petite expédition en termes de moyens. Nous étions peut-être le groupe le plus soudé aussi… Et ça, c’est une belle victoire ».
« L’aventure racontée dans ce carnet de voyage m’aura procuré de nombreux motifs de satisfaction. Satisfaction d’avoir réussi ce que j’avais entrepris tout d’abord : cette satisfaction-là est indescriptible. J’ai ressenti un grand assouvissement personnel, une grande fierté, même. Devoir se battre pour un objectif que l’on s’est fixé, y mettre toute son énergie et finalement réussir, cela procure des sensations intenses.
Mais réussir alors que l’on a risqué sa vie, et que peu de gens y arrivent, ajoute encore du bonheur à cela. Satisfaction, ensuite, d’avoir observé depuis le toit du monde des paysages de montagne magnifiques, et vécu de vrais instants de plaisir qui ont su faire oublier la souffrance et les moments durs. Satisfaction enfin de l’avoir accompli sans oxygène ni sherpas. Sur le Cho Oyu, nous avons pris conscience des écarts énormes qu’il y avait en termes d’organisation et de moyens entre les expéditions.
« Faire un sommet » ne veut pas dire grand-chose. « Dans quelles conditions ? » est plus significatif. Ma plus grande satisfaction, finalement, c’est que nous étions la plus petite expédition en termes de moyens. Nous étions peut-être le groupe le plus soudé aussi… Et ça, c’est une belle victoire ».