Étude taxinomique du phytoplancton dulçaquicole du Sud Côte d'Ivoire. Cas de quelques sites d'eau lentique et lotique: apports de la microscopie électronique à balayage
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- Nombre de pages444
- PrésentationBroché
- Poids0.649 kg
- Dimensions15,2 cm × 22,9 cm × 2,5 cm
- ISBN978-613-9-53646-7
- EAN9786139536467
- Date de parution01/02/2020
- CollectionOMN.UNIV.EUROP.
- ÉditeurUNIV EUROPEENNE
Résumé
L'étude taxinomique du phytoplancton dulçaquicole de quelques sites au Sud de la Côte d'Ivoire, a été menée à partir de prélèvements effectués de 1995 à 2002, dans les rivières Agnéby et Bia, dans des plans d'eau de leurs bassins versants, et dans le lac de barrage hydro-électrique de Taabo, sur le fleuve Bandama. Cent huit des taxons recensés au microscope photonique ont été décrits au microscope électronique à balayage, regroupés en Chlorophyta, Heterokontophyta, Dinophyta et Euglenophyta.
Cinquante-deux d'entre eux sont nouveaux pour la Côte d'Ivoire, trente-cinq pour l'Afrique de l'Ouest, vingt-six pour l'Afrique. Les taxons nouveaux pour la Science comprennent un genre, six espèces et sept variétés. Cinquante-six des taxons étudiés sont cosmopolites, seize subcosmopolites et dix-huit tropicaux. D'autres, comme ceux nouvellement décrits, sont écologiquement peu connus pour être classés avec certitude dans l'un de ces groupes.
Trachelomonas dastuguei var. dastuguei fo. africana Couté et Iltis, T. pisciformis var. bicoronata Couté et Iltis et T. radiosa var. imperforata Couté et Iltis sont pour le moment connus de la seule Côte d'Ivoire et semblent endémiques pour ce pays.
Cinquante-deux d'entre eux sont nouveaux pour la Côte d'Ivoire, trente-cinq pour l'Afrique de l'Ouest, vingt-six pour l'Afrique. Les taxons nouveaux pour la Science comprennent un genre, six espèces et sept variétés. Cinquante-six des taxons étudiés sont cosmopolites, seize subcosmopolites et dix-huit tropicaux. D'autres, comme ceux nouvellement décrits, sont écologiquement peu connus pour être classés avec certitude dans l'un de ces groupes.
Trachelomonas dastuguei var. dastuguei fo. africana Couté et Iltis, T. pisciformis var. bicoronata Couté et Iltis et T. radiosa var. imperforata Couté et Iltis sont pour le moment connus de la seule Côte d'Ivoire et semblent endémiques pour ce pays.
L'étude taxinomique du phytoplancton dulçaquicole de quelques sites au Sud de la Côte d'Ivoire, a été menée à partir de prélèvements effectués de 1995 à 2002, dans les rivières Agnéby et Bia, dans des plans d'eau de leurs bassins versants, et dans le lac de barrage hydro-électrique de Taabo, sur le fleuve Bandama. Cent huit des taxons recensés au microscope photonique ont été décrits au microscope électronique à balayage, regroupés en Chlorophyta, Heterokontophyta, Dinophyta et Euglenophyta.
Cinquante-deux d'entre eux sont nouveaux pour la Côte d'Ivoire, trente-cinq pour l'Afrique de l'Ouest, vingt-six pour l'Afrique. Les taxons nouveaux pour la Science comprennent un genre, six espèces et sept variétés. Cinquante-six des taxons étudiés sont cosmopolites, seize subcosmopolites et dix-huit tropicaux. D'autres, comme ceux nouvellement décrits, sont écologiquement peu connus pour être classés avec certitude dans l'un de ces groupes.
Trachelomonas dastuguei var. dastuguei fo. africana Couté et Iltis, T. pisciformis var. bicoronata Couté et Iltis et T. radiosa var. imperforata Couté et Iltis sont pour le moment connus de la seule Côte d'Ivoire et semblent endémiques pour ce pays.
Cinquante-deux d'entre eux sont nouveaux pour la Côte d'Ivoire, trente-cinq pour l'Afrique de l'Ouest, vingt-six pour l'Afrique. Les taxons nouveaux pour la Science comprennent un genre, six espèces et sept variétés. Cinquante-six des taxons étudiés sont cosmopolites, seize subcosmopolites et dix-huit tropicaux. D'autres, comme ceux nouvellement décrits, sont écologiquement peu connus pour être classés avec certitude dans l'un de ces groupes.
Trachelomonas dastuguei var. dastuguei fo. africana Couté et Iltis, T. pisciformis var. bicoronata Couté et Iltis et T. radiosa var. imperforata Couté et Iltis sont pour le moment connus de la seule Côte d'Ivoire et semblent endémiques pour ce pays.