Ça y est je suis réconciliée avec les romans de Sophie Loubière. J’avais malencontreusement commencé par le tome 2 « white coffee » (l’éditeur indique qu’il peut se lire sans avoir lu le tome 1) et j’avais trouvé les personnages peu attachants. En fait il faut absolument lire le tome 1 car toute leur psychologie donne de l’épaisseur aux personnages, et est nécessaire à la bonne compréhension de la suite.
Un mari disparu et voilà un road trip familial, surprenant et envoûtant à la fois, subtil et haletant. Au-delà des clichés sur la route 66, mythique comme elle se doit et pittoresque comme l’Amérique profonde, une quête du passé pour un Desmond, héros super doué, bien malmené. Je comprends l’attachement de l’auteure à ce cinquantenaire meurtri par un drame familial hors norme quand il avait 5 ans. Des seconds rôles tout aussi atypiques ajoutent une note d’humour à une intrigue bien sanglante.
J’ai donc beaucoup aimé cet opus et relirai avec des yeux neufs la suite dans quelques temps.
Ça y est je suis réconciliée avec les romans de Sophie Loubière. J’avais malencontreusement commencé par le tome 2 « white coffee » (l’éditeur indique qu’il peut se lire sans avoir lu le tome 1) et j’avais trouvé les personnages peu attachants. En fait il faut absolument lire le tome 1 car toute leur psychologie donne de l’épaisseur aux personnages, et est nécessaire à la bonne compréhension de la suite.
Un mari disparu et voilà un road trip familial, surprenant et envoûtant à la fois, subtil et haletant. Au-delà des clichés sur la route 66, mythique comme elle se doit et pittoresque comme l’Amérique profonde, une quête du passé pour un Desmond, héros super doué, bien malmené. Je comprends l’attachement de l’auteure à ce cinquantenaire meurtri par un drame familial hors norme quand il avait 5 ans. Des seconds rôles tout aussi atypiques ajoutent une note d’humour à une intrigue bien sanglante.
J’ai donc beaucoup aimé cet opus et relirai avec des yeux neufs la suite dans quelques temps.