Driss Chraïbi est né en 1926 à El-Jadida. Après des études secondaires à Casablanca, il étudie la chimie en France, où il s'installe en 1945. A l'âge de vingt-huit ans, il publie Le passé simple qui fait l'effet d'une véritable bombe. Avec une rare violence, il projetait le roman maghrébin d'expression française vers des thèmes majeurs : poids de l'islam, condition féminine dans la société arabe, identité culturelle, conflit des civilisations. Enseignant, producteur à la radio, l'écrivain devient peu à peu un "classique". Son oeuvre abondante et variée (romans historiques, policiers, etc.) est marquée par un humour féroce et une grande liberté de ton. Driss Chraïbi est mort le 1er avril 2007.
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- Nombre de pages206
- FormatPDF
- ISBN978-2-207-10626-6
- EAN9782207106266
- Date de parution28/05/2012
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe DRM
- Taille3 Mo
- Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
- ÉditeurDenoël
Résumé
"Je remercie la vie". C'est par ces mots que commence vu, lu, entendu. A l'encontre des mémorialistes, Driss Chraïbi, le père de la littérature maghrébine d'expression française, ne se met pas en avant, mais choisit d'occuper les coulisses pour donner voix à tout un peuple, ressusciter une époque (1926-1947), vécue sur l'autre rive de la Méditerranée à travers le regard d'un adolescent ouvert au monde.
Dans un style concret, relatant ce qu'il a vu, lu, entendu, avec un humour qui n'appartient qu'à lui, divers personnages sont évoqués avec émotion, la figure héraldique du père, les amis français de jeunesse et surtout les grandes personnalités du Maroc, comme Allal el-Fassi, Ahmed Balafrej, dans un amour gigantesque pour le pays natal. "Je remercie la vie. Elle m'a comblé. En regard d'elle, tout le reste est littérature".
Dans un style concret, relatant ce qu'il a vu, lu, entendu, avec un humour qui n'appartient qu'à lui, divers personnages sont évoqués avec émotion, la figure héraldique du père, les amis français de jeunesse et surtout les grandes personnalités du Maroc, comme Allal el-Fassi, Ahmed Balafrej, dans un amour gigantesque pour le pays natal. "Je remercie la vie. Elle m'a comblé. En regard d'elle, tout le reste est littérature".
"Je remercie la vie". C'est par ces mots que commence vu, lu, entendu. A l'encontre des mémorialistes, Driss Chraïbi, le père de la littérature maghrébine d'expression française, ne se met pas en avant, mais choisit d'occuper les coulisses pour donner voix à tout un peuple, ressusciter une époque (1926-1947), vécue sur l'autre rive de la Méditerranée à travers le regard d'un adolescent ouvert au monde.
Dans un style concret, relatant ce qu'il a vu, lu, entendu, avec un humour qui n'appartient qu'à lui, divers personnages sont évoqués avec émotion, la figure héraldique du père, les amis français de jeunesse et surtout les grandes personnalités du Maroc, comme Allal el-Fassi, Ahmed Balafrej, dans un amour gigantesque pour le pays natal. "Je remercie la vie. Elle m'a comblé. En regard d'elle, tout le reste est littérature".
Dans un style concret, relatant ce qu'il a vu, lu, entendu, avec un humour qui n'appartient qu'à lui, divers personnages sont évoqués avec émotion, la figure héraldique du père, les amis français de jeunesse et surtout les grandes personnalités du Maroc, comme Allal el-Fassi, Ahmed Balafrej, dans un amour gigantesque pour le pays natal. "Je remercie la vie. Elle m'a comblé. En regard d'elle, tout le reste est littérature".