Un forgeron dans la cité des rois : Longjumeau, St-Denis
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- Nombre de pages240
- FormatePub
- ISBN2-402-14507-2
- EAN9782402145077
- Date de parution01/01/1986
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Hall...
Résumé
Orphelin l'année de naissance, en 1905 à Dourdan. Écrit sa tristesse d'avoir grandi sans parents. Travaille à l'âge de dix ans, pendant la guerre de 1914-1918. Apprend le métier de forgeron. Se syndique en 1924. Soldat en occupation de la Ruhr (Allemagne). Adhère au Parti Communiste Français à Longjumeau en 1926. Milite activement au Secours Rouge International pour l'amnistie en faveur des soldats, marins et emprisonnés politiques.
Emprisonné en juillet 1929 pour sa lutte contre les préparatifs de guerre. Participe aux journées antifascistes de février 1934 contre les factieux, tentant de s'emparer du Pouvoir. Dès le 2 juillet 1934, son Parti l'envoie à Saint-Denis afin d'aider les communistes à sauver l'unité du Parti menacée par l'action scissionniste du député-maire - Jacques Doriot. Sous le Front Populaire, il est élu conseiller municipal dans l'élection partielle du 20 juin 1937 où Doriot fut battu.
Auguste Gillot dénonce la trahison de 1939-1940 et ce que fut pour lui « la drôle de guerre », son engagement dans la Résistance dès sa démobilisation. Devenu représentant du P. C. F. au Conseil National de la Résistance, il prit liaison avec les délégués du général de Gaulle. Après quatre ans de combats clandestins, Paris est libéré par l'insurrection des Parisiens et Le forgeron de Longjumeau ; de retour à Saint-Denis, sera maire de la ville : 1944-1971.
Conseiller municipal 1937-1983. Conseiller général 1945-1968, membre du Comité Central du Parti Communiste Français 1945-1964. Son souci aujourd'hui : préparer l'an 2000 qui doit annoncer le siècle de la paix, de tous les droits de l'homme, le siècle du bonheur.
Emprisonné en juillet 1929 pour sa lutte contre les préparatifs de guerre. Participe aux journées antifascistes de février 1934 contre les factieux, tentant de s'emparer du Pouvoir. Dès le 2 juillet 1934, son Parti l'envoie à Saint-Denis afin d'aider les communistes à sauver l'unité du Parti menacée par l'action scissionniste du député-maire - Jacques Doriot. Sous le Front Populaire, il est élu conseiller municipal dans l'élection partielle du 20 juin 1937 où Doriot fut battu.
Auguste Gillot dénonce la trahison de 1939-1940 et ce que fut pour lui « la drôle de guerre », son engagement dans la Résistance dès sa démobilisation. Devenu représentant du P. C. F. au Conseil National de la Résistance, il prit liaison avec les délégués du général de Gaulle. Après quatre ans de combats clandestins, Paris est libéré par l'insurrection des Parisiens et Le forgeron de Longjumeau ; de retour à Saint-Denis, sera maire de la ville : 1944-1971.
Conseiller municipal 1937-1983. Conseiller général 1945-1968, membre du Comité Central du Parti Communiste Français 1945-1964. Son souci aujourd'hui : préparer l'an 2000 qui doit annoncer le siècle de la paix, de tous les droits de l'homme, le siècle du bonheur.
Orphelin l'année de naissance, en 1905 à Dourdan. Écrit sa tristesse d'avoir grandi sans parents. Travaille à l'âge de dix ans, pendant la guerre de 1914-1918. Apprend le métier de forgeron. Se syndique en 1924. Soldat en occupation de la Ruhr (Allemagne). Adhère au Parti Communiste Français à Longjumeau en 1926. Milite activement au Secours Rouge International pour l'amnistie en faveur des soldats, marins et emprisonnés politiques.
Emprisonné en juillet 1929 pour sa lutte contre les préparatifs de guerre. Participe aux journées antifascistes de février 1934 contre les factieux, tentant de s'emparer du Pouvoir. Dès le 2 juillet 1934, son Parti l'envoie à Saint-Denis afin d'aider les communistes à sauver l'unité du Parti menacée par l'action scissionniste du député-maire - Jacques Doriot. Sous le Front Populaire, il est élu conseiller municipal dans l'élection partielle du 20 juin 1937 où Doriot fut battu.
Auguste Gillot dénonce la trahison de 1939-1940 et ce que fut pour lui « la drôle de guerre », son engagement dans la Résistance dès sa démobilisation. Devenu représentant du P. C. F. au Conseil National de la Résistance, il prit liaison avec les délégués du général de Gaulle. Après quatre ans de combats clandestins, Paris est libéré par l'insurrection des Parisiens et Le forgeron de Longjumeau ; de retour à Saint-Denis, sera maire de la ville : 1944-1971.
Conseiller municipal 1937-1983. Conseiller général 1945-1968, membre du Comité Central du Parti Communiste Français 1945-1964. Son souci aujourd'hui : préparer l'an 2000 qui doit annoncer le siècle de la paix, de tous les droits de l'homme, le siècle du bonheur.
Emprisonné en juillet 1929 pour sa lutte contre les préparatifs de guerre. Participe aux journées antifascistes de février 1934 contre les factieux, tentant de s'emparer du Pouvoir. Dès le 2 juillet 1934, son Parti l'envoie à Saint-Denis afin d'aider les communistes à sauver l'unité du Parti menacée par l'action scissionniste du député-maire - Jacques Doriot. Sous le Front Populaire, il est élu conseiller municipal dans l'élection partielle du 20 juin 1937 où Doriot fut battu.
Auguste Gillot dénonce la trahison de 1939-1940 et ce que fut pour lui « la drôle de guerre », son engagement dans la Résistance dès sa démobilisation. Devenu représentant du P. C. F. au Conseil National de la Résistance, il prit liaison avec les délégués du général de Gaulle. Après quatre ans de combats clandestins, Paris est libéré par l'insurrection des Parisiens et Le forgeron de Longjumeau ; de retour à Saint-Denis, sera maire de la ville : 1944-1971.
Conseiller municipal 1937-1983. Conseiller général 1945-1968, membre du Comité Central du Parti Communiste Français 1945-1964. Son souci aujourd'hui : préparer l'an 2000 qui doit annoncer le siècle de la paix, de tous les droits de l'homme, le siècle du bonheur.