Un crime sous Giscard. L'affaire de Broglie, l'Opus Dei, Matesa
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- Nombre de pages312
- FormatePub
- ISBN2-348-03340-2
- EAN9782348033407
- Date de parution01/01/1981
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille717 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLa Découverte (réédition numériq...
Résumé
Paris, 24 décembre 1976, 9 h 22 : le prince député Jean de Broglie, co-fondateur du parti giscardien, tombe sous les balles d'un tueur. Après quatre ans d'enquête officielle, le mystère reste entier. Aussi, ce livre explosif, résultat d'une longue enquête, vient-il à son heure : pour la première fois, sont démêlés les principaux éléments de l'imbroglio politico-financier qui cache, selon toute vraisemblance, le mobile du meurtre.
Pour suivre le fil conducteur de l'affaire, l'auteur remonte aux années soixante, dans l'Espagne franquiste où la fameuse Opus Dei - la Santa Mafia - était mêlée à ce qui devait devenir, en 1969, le « scandale Matesa ». Démontrant les liens étroits qui rapprochaient alors la famille Giscard et la Santa Mafia, le livre nous mène ensuite au Luxembourg, où le prince de Broglie et ses acolytes devaient mettre sur pied avec la Matesa un complexe réseau financier destiné à détourner des sommes considérables.
Or, l'auteur fait connaître des documents jusqu'ici restés secrets, ou laissés de côté. Ceux-ci démontrent à quel point Jean de Broglie était engagé dans ce montage international, et comment les dettes énormes qu'il avait contractées menaçaient indirectement l'honneur même du Président de la République élu en 1974. Première analyse cohérente de cette affaire, ce livre ne fait pas l'économie de la description détaillée des préparatifs et du déroulement du meurtre, et des manipulations policières de l'enquête, qui paraissent bien impliquer la responsabilité des plus hauts niveaux de l'État giscardien.
Pour suivre le fil conducteur de l'affaire, l'auteur remonte aux années soixante, dans l'Espagne franquiste où la fameuse Opus Dei - la Santa Mafia - était mêlée à ce qui devait devenir, en 1969, le « scandale Matesa ». Démontrant les liens étroits qui rapprochaient alors la famille Giscard et la Santa Mafia, le livre nous mène ensuite au Luxembourg, où le prince de Broglie et ses acolytes devaient mettre sur pied avec la Matesa un complexe réseau financier destiné à détourner des sommes considérables.
Or, l'auteur fait connaître des documents jusqu'ici restés secrets, ou laissés de côté. Ceux-ci démontrent à quel point Jean de Broglie était engagé dans ce montage international, et comment les dettes énormes qu'il avait contractées menaçaient indirectement l'honneur même du Président de la République élu en 1974. Première analyse cohérente de cette affaire, ce livre ne fait pas l'économie de la description détaillée des préparatifs et du déroulement du meurtre, et des manipulations policières de l'enquête, qui paraissent bien impliquer la responsabilité des plus hauts niveaux de l'État giscardien.
Paris, 24 décembre 1976, 9 h 22 : le prince député Jean de Broglie, co-fondateur du parti giscardien, tombe sous les balles d'un tueur. Après quatre ans d'enquête officielle, le mystère reste entier. Aussi, ce livre explosif, résultat d'une longue enquête, vient-il à son heure : pour la première fois, sont démêlés les principaux éléments de l'imbroglio politico-financier qui cache, selon toute vraisemblance, le mobile du meurtre.
Pour suivre le fil conducteur de l'affaire, l'auteur remonte aux années soixante, dans l'Espagne franquiste où la fameuse Opus Dei - la Santa Mafia - était mêlée à ce qui devait devenir, en 1969, le « scandale Matesa ». Démontrant les liens étroits qui rapprochaient alors la famille Giscard et la Santa Mafia, le livre nous mène ensuite au Luxembourg, où le prince de Broglie et ses acolytes devaient mettre sur pied avec la Matesa un complexe réseau financier destiné à détourner des sommes considérables.
Or, l'auteur fait connaître des documents jusqu'ici restés secrets, ou laissés de côté. Ceux-ci démontrent à quel point Jean de Broglie était engagé dans ce montage international, et comment les dettes énormes qu'il avait contractées menaçaient indirectement l'honneur même du Président de la République élu en 1974. Première analyse cohérente de cette affaire, ce livre ne fait pas l'économie de la description détaillée des préparatifs et du déroulement du meurtre, et des manipulations policières de l'enquête, qui paraissent bien impliquer la responsabilité des plus hauts niveaux de l'État giscardien.
Pour suivre le fil conducteur de l'affaire, l'auteur remonte aux années soixante, dans l'Espagne franquiste où la fameuse Opus Dei - la Santa Mafia - était mêlée à ce qui devait devenir, en 1969, le « scandale Matesa ». Démontrant les liens étroits qui rapprochaient alors la famille Giscard et la Santa Mafia, le livre nous mène ensuite au Luxembourg, où le prince de Broglie et ses acolytes devaient mettre sur pied avec la Matesa un complexe réseau financier destiné à détourner des sommes considérables.
Or, l'auteur fait connaître des documents jusqu'ici restés secrets, ou laissés de côté. Ceux-ci démontrent à quel point Jean de Broglie était engagé dans ce montage international, et comment les dettes énormes qu'il avait contractées menaçaient indirectement l'honneur même du Président de la République élu en 1974. Première analyse cohérente de cette affaire, ce livre ne fait pas l'économie de la description détaillée des préparatifs et du déroulement du meurtre, et des manipulations policières de l'enquête, qui paraissent bien impliquer la responsabilité des plus hauts niveaux de l'État giscardien.