Start-up mania. La French Tech à l'épreuve des faits

Par : Michel Turin
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  • Nombre de pages320
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7021-6592-8
  • EAN9782702165928
  • Date de parution05/02/2020
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille590 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurCalmann-Lévy

Résumé

En France, les start-up sont devenues l'objet d'un véritable culte. Elles font rêver les jeunes diplômés comme les investisseurs en tous genres. et les hommes politiques. On s'extasie à juste titre sur les «  licornes  » françaises  : Doctolib, BlaBlaCar, Criteo. Mais ces réussites incontestables sont l'arbre qui cache la forêt des start-up (il y en aurait plus de 10  000  !) - celles pliées aussi vite qu'elles ont été créées, celles qui végètent, puis s'étiolent après un départ fulgurant.
Pourtant, ce n'est pas faute de financements  : par l'entremise des business angels et des venture capitalists, l'argent coule à flots dès qu'est prononcé le mot magique de «  start-up  ». Et l'État n'est pas en reste. Pour que la France accède au statut de «  start-up nation  » que le président appelle de ses voux, il arrose l'écosystème de la French Tech d'aides en tous genres. Pourtant, tout devrait éveiller la méfiance des investisseurs  : les start-up sont évaluées non pas en fonction de leurs profits - inexistants - mais de nouveaux critères non orthodoxes inventés pour les besoins de la cause.
Certes, dira-t-on, mais n'est-ce pas la seule façon de voir émerger des Amazon, des Google ou des Uber européens  ? Hélas, plusieurs experts nous expliquent pourquoi l'écosystème français est structurellement incapable de donner naissance à de tels géants. Les start-up sont-elles au moins utiles à l'économie du pays  ? Pas davantage. Petits employeurs, gros consommateurs de subventions, championnes de la précarité, elles font (dans le meilleur des cas) la fortune de leurs seuls fondateurs, qui cherchent à vendre leurs parts le plus vite possible, souvent aux grosses sociétés dont elles «  challengent  » le business model.Le crash est imminent, nous avertit Michel Turin.
Vous avez aimé l'éclatement de la bulle de l'internet en 2000  ? écrit-il. Vous allez adorer celle des start-ups  !
En France, les start-up sont devenues l'objet d'un véritable culte. Elles font rêver les jeunes diplômés comme les investisseurs en tous genres. et les hommes politiques. On s'extasie à juste titre sur les «  licornes  » françaises  : Doctolib, BlaBlaCar, Criteo. Mais ces réussites incontestables sont l'arbre qui cache la forêt des start-up (il y en aurait plus de 10  000  !) - celles pliées aussi vite qu'elles ont été créées, celles qui végètent, puis s'étiolent après un départ fulgurant.
Pourtant, ce n'est pas faute de financements  : par l'entremise des business angels et des venture capitalists, l'argent coule à flots dès qu'est prononcé le mot magique de «  start-up  ». Et l'État n'est pas en reste. Pour que la France accède au statut de «  start-up nation  » que le président appelle de ses voux, il arrose l'écosystème de la French Tech d'aides en tous genres. Pourtant, tout devrait éveiller la méfiance des investisseurs  : les start-up sont évaluées non pas en fonction de leurs profits - inexistants - mais de nouveaux critères non orthodoxes inventés pour les besoins de la cause.
Certes, dira-t-on, mais n'est-ce pas la seule façon de voir émerger des Amazon, des Google ou des Uber européens  ? Hélas, plusieurs experts nous expliquent pourquoi l'écosystème français est structurellement incapable de donner naissance à de tels géants. Les start-up sont-elles au moins utiles à l'économie du pays  ? Pas davantage. Petits employeurs, gros consommateurs de subventions, championnes de la précarité, elles font (dans le meilleur des cas) la fortune de leurs seuls fondateurs, qui cherchent à vendre leurs parts le plus vite possible, souvent aux grosses sociétés dont elles «  challengent  » le business model.Le crash est imminent, nous avertit Michel Turin.
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