Sous le signe du clivage
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- Nombre de pages208
- FormatPDF
- ISBN978-2-10-073963-9
- EAN9782100739639
- Date de parution19/08/2015
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe DRM
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurDunod
Résumé
Il n'y a pas un clivage mais des clivages : clivage du moi chez S. Freud, clivage narcissique chez S. Ferenczi, clivage des objets chez M. Klein, clivage du sujet chez J. Lacan. La liste est interminable, et P.-C. Racamier a fait monter d'un cran la complexité en affirmant que les clivages sont contagieux et ne se limitent pas à la vie intrapsychique, mais s'expriment aussi dans le lien. Il sera également question de clivages groupaux, voire sociaux.
Les contributeurs de ce livre ont tous été amenés, par leur clinique, à approfondir le concept de clivage, mais à partir de champs parfois très éloignés les uns des autres :J.-C. Maes, sémioticien, et G. Bayle, psychodramatiste, explorent sa métapsychologie. D. Arnoux, kleinien, et I. Gernet, psychosomaticienne, approfondissent son rôledans la construction du psychisme. J. Roisin, lacanien, et E. Darchis, thérapeute familiale psychanalytique, abordentla question du traumatisme.
B. Brusset, freudien, effectue une première synthèse et s'intéresse aux pathologies s'organisant sur un clivage. R. Kaës, groupaliste, reprend le thème autour de l'articulation de l'intrapsychique, du lien et du groupe. V. de Coorebyter, philosophe, l'étend aux partis politiques et J.-C. Maes aux sectes. Le livre se conclut sur la portée paradoxalement thérapeutique de certains clivages.
Les contributeurs de ce livre ont tous été amenés, par leur clinique, à approfondir le concept de clivage, mais à partir de champs parfois très éloignés les uns des autres :J.-C. Maes, sémioticien, et G. Bayle, psychodramatiste, explorent sa métapsychologie. D. Arnoux, kleinien, et I. Gernet, psychosomaticienne, approfondissent son rôledans la construction du psychisme. J. Roisin, lacanien, et E. Darchis, thérapeute familiale psychanalytique, abordentla question du traumatisme.
B. Brusset, freudien, effectue une première synthèse et s'intéresse aux pathologies s'organisant sur un clivage. R. Kaës, groupaliste, reprend le thème autour de l'articulation de l'intrapsychique, du lien et du groupe. V. de Coorebyter, philosophe, l'étend aux partis politiques et J.-C. Maes aux sectes. Le livre se conclut sur la portée paradoxalement thérapeutique de certains clivages.
Il n'y a pas un clivage mais des clivages : clivage du moi chez S. Freud, clivage narcissique chez S. Ferenczi, clivage des objets chez M. Klein, clivage du sujet chez J. Lacan. La liste est interminable, et P.-C. Racamier a fait monter d'un cran la complexité en affirmant que les clivages sont contagieux et ne se limitent pas à la vie intrapsychique, mais s'expriment aussi dans le lien. Il sera également question de clivages groupaux, voire sociaux.
Les contributeurs de ce livre ont tous été amenés, par leur clinique, à approfondir le concept de clivage, mais à partir de champs parfois très éloignés les uns des autres :J.-C. Maes, sémioticien, et G. Bayle, psychodramatiste, explorent sa métapsychologie. D. Arnoux, kleinien, et I. Gernet, psychosomaticienne, approfondissent son rôledans la construction du psychisme. J. Roisin, lacanien, et E. Darchis, thérapeute familiale psychanalytique, abordentla question du traumatisme.
B. Brusset, freudien, effectue une première synthèse et s'intéresse aux pathologies s'organisant sur un clivage. R. Kaës, groupaliste, reprend le thème autour de l'articulation de l'intrapsychique, du lien et du groupe. V. de Coorebyter, philosophe, l'étend aux partis politiques et J.-C. Maes aux sectes. Le livre se conclut sur la portée paradoxalement thérapeutique de certains clivages.
Les contributeurs de ce livre ont tous été amenés, par leur clinique, à approfondir le concept de clivage, mais à partir de champs parfois très éloignés les uns des autres :J.-C. Maes, sémioticien, et G. Bayle, psychodramatiste, explorent sa métapsychologie. D. Arnoux, kleinien, et I. Gernet, psychosomaticienne, approfondissent son rôledans la construction du psychisme. J. Roisin, lacanien, et E. Darchis, thérapeute familiale psychanalytique, abordentla question du traumatisme.
B. Brusset, freudien, effectue une première synthèse et s'intéresse aux pathologies s'organisant sur un clivage. R. Kaës, groupaliste, reprend le thème autour de l'articulation de l'intrapsychique, du lien et du groupe. V. de Coorebyter, philosophe, l'étend aux partis politiques et J.-C. Maes aux sectes. Le livre se conclut sur la portée paradoxalement thérapeutique de certains clivages.