Michel Houellebecq est un grand sociologue. On dira tout ce que l’on veut de l’écrivain, de la personne, mais son talent, mais sa finesse d’analyse, de projection de la société française reste remarquable.
Ce septième roman n’échappe pas à la règle et à son œil, son acuité. Le voilà qui dissèque la France qui grogne, qui bouscule, celle qui se lève et se relève. Celle du bas.
Bien sûr, c’est d’un cynisme fou, et il va parfois loin trop loin... Bien sûr qu’il faut lire Houellebecq avec du recul et du second degré, puisqu’il nous emmène là où on ne veut
pas aller, nous montre ce que l’on ne veut pas voir.
Oui, mais reste l’importance de son propos, qui nous donne tous – à ses admirateurs comme à ses détracteurs – matière à réfléchir, et à penser le monde d’aujourd’hui.
FAITES-VOUS VOTRE PROPRE AVIS !
Michel Houellebecq est un grand sociologue. On dira tout ce que l’on veut de l’écrivain, de la personne, mais son talent, mais sa finesse d’analyse, de projection de la société française reste remarquable.
Ce septième roman n’échappe pas à la règle et à son œil, son acuité. Le voilà qui dissèque la France qui grogne, qui bouscule, celle qui se lève et se relève. Celle du bas.
Bien sûr, c’est d’un cynisme fou, et il va parfois loin trop loin... Bien sûr qu’il faut lire Houellebecq avec du recul et du second degré, puisqu’il nous emmène là où on ne veut pas aller, nous montre ce que l’on ne veut pas voir.
Oui, mais reste l’importance de son propos, qui nous donne tous – à ses admirateurs comme à ses détracteurs – matière à réfléchir, et à penser le monde d’aujourd’hui.