Seconde lettre sur l'Algérie. suivie de Rapport sur l'Algérie (1847) - 1ère partie
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- Nombre de pages80
- FormatePub
- ISBN2-7555-0304-1
- EAN9782755503043
- Date de parution05/03/2003
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille141 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard/Mille et une nuits
Résumé
De retour de son voyage en Amerique en 1831, Alexis de Tocqueville (1805-1859) est séduit par l'aventure colonialiste dans laquelle la France vient de se lancer en Algérie... Mais selon l'auteur du fameux De la démocratie en Amérique, la conquête est menée au mépris des spécificités du pays - dont les Français ignorent tout : saccage par l'armée, destruction des structures administratives, anarchie politique...
« Il ne suffit pas pour pouvoir gouverner une nation de l'avoir vaincue ». Lucide quant aux erreurs commises et aux difficultés de la« pacification », Tocqueville plaide cependant pour l'entreprise civilisatrice que constitue le colonialisme. Avec sa Seconde Lettre sur l'Algérie (1837), il livre une précieuse analyse de la société algérienne face à la colonisation. Son Rapport parlementaire (1847) revient sur la réalité des travaux menés sur place par l'administration française.
« Il ne suffit pas pour pouvoir gouverner une nation de l'avoir vaincue ». Lucide quant aux erreurs commises et aux difficultés de la« pacification », Tocqueville plaide cependant pour l'entreprise civilisatrice que constitue le colonialisme. Avec sa Seconde Lettre sur l'Algérie (1837), il livre une précieuse analyse de la société algérienne face à la colonisation. Son Rapport parlementaire (1847) revient sur la réalité des travaux menés sur place par l'administration française.
De retour de son voyage en Amerique en 1831, Alexis de Tocqueville (1805-1859) est séduit par l'aventure colonialiste dans laquelle la France vient de se lancer en Algérie... Mais selon l'auteur du fameux De la démocratie en Amérique, la conquête est menée au mépris des spécificités du pays - dont les Français ignorent tout : saccage par l'armée, destruction des structures administratives, anarchie politique...
« Il ne suffit pas pour pouvoir gouverner une nation de l'avoir vaincue ». Lucide quant aux erreurs commises et aux difficultés de la« pacification », Tocqueville plaide cependant pour l'entreprise civilisatrice que constitue le colonialisme. Avec sa Seconde Lettre sur l'Algérie (1837), il livre une précieuse analyse de la société algérienne face à la colonisation. Son Rapport parlementaire (1847) revient sur la réalité des travaux menés sur place par l'administration française.
« Il ne suffit pas pour pouvoir gouverner une nation de l'avoir vaincue ». Lucide quant aux erreurs commises et aux difficultés de la« pacification », Tocqueville plaide cependant pour l'entreprise civilisatrice que constitue le colonialisme. Avec sa Seconde Lettre sur l'Algérie (1837), il livre une précieuse analyse de la société algérienne face à la colonisation. Son Rapport parlementaire (1847) revient sur la réalité des travaux menés sur place par l'administration française.