S'approprier le français. Pour une langue conviviale (OPALE)
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- Nombre de pages200
- FormatePub
- ISBN978-2-8073-0062-0
- EAN9782807300620
- Date de parution30/12/2016
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe DRM
- Taille1 Mo
- Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
- Infos supplémentairesePub avec DRM
- ÉditeurDe Boeck Supérieur
- Directeur scientifique Service de la langue française
Résumé
Que la promotion du citoyen dans l'espace public passe par la maitrise des outils symboliques, et particulièrement du langage, est chose bien connue. Ce que l'on croit aussi savoir, c'est que les usagers éprouveraient de plus en plus de mal à maitriser ces outils. Et ce déficit serait surtout criant chez les francophones. La langue française n'est-elle pas perçue, à tort ou à raison, comme difficile, exigeante et trop dépendante d'une tradition élitiste ? S'il s'avérait que cette crise a bien lieu, il y aurait là un grave problème social : comment accepter que des usagers se sentent exclus de leur propre langue et de celle de la Cité ? Les organismes chargés de la politique des langues dans la francophonie septentrionale (France, Québec, Belgique, Suisse) ont voulu s'emparer de ce problème dans un colloque dont on trouvera les traces dans le présent volume.
Les textes ici réunis à leur initiative étudient les représentations qui bloquent l'appropriation de la langue et envisagent les moyens d'agir sur elles ; ils proposent des pratiques didactiques propres à favoriser l'appropriation de la langue ; ils donnent à réfléchir sur les réformes de la langue susceptibles de renforcer son appropriabilité. En balisant les pistes menant à une meilleure appropriation du français par les francophones et les non francophones, ces travaux visent une réduction du cout social de la non-maitrise de la langue et, en dernière instance, une meilleure intégration de tous à la vie de la Cité.
Les textes ici réunis à leur initiative étudient les représentations qui bloquent l'appropriation de la langue et envisagent les moyens d'agir sur elles ; ils proposent des pratiques didactiques propres à favoriser l'appropriation de la langue ; ils donnent à réfléchir sur les réformes de la langue susceptibles de renforcer son appropriabilité. En balisant les pistes menant à une meilleure appropriation du français par les francophones et les non francophones, ces travaux visent une réduction du cout social de la non-maitrise de la langue et, en dernière instance, une meilleure intégration de tous à la vie de la Cité.
Que la promotion du citoyen dans l'espace public passe par la maitrise des outils symboliques, et particulièrement du langage, est chose bien connue. Ce que l'on croit aussi savoir, c'est que les usagers éprouveraient de plus en plus de mal à maitriser ces outils. Et ce déficit serait surtout criant chez les francophones. La langue française n'est-elle pas perçue, à tort ou à raison, comme difficile, exigeante et trop dépendante d'une tradition élitiste ? S'il s'avérait que cette crise a bien lieu, il y aurait là un grave problème social : comment accepter que des usagers se sentent exclus de leur propre langue et de celle de la Cité ? Les organismes chargés de la politique des langues dans la francophonie septentrionale (France, Québec, Belgique, Suisse) ont voulu s'emparer de ce problème dans un colloque dont on trouvera les traces dans le présent volume.
Les textes ici réunis à leur initiative étudient les représentations qui bloquent l'appropriation de la langue et envisagent les moyens d'agir sur elles ; ils proposent des pratiques didactiques propres à favoriser l'appropriation de la langue ; ils donnent à réfléchir sur les réformes de la langue susceptibles de renforcer son appropriabilité. En balisant les pistes menant à une meilleure appropriation du français par les francophones et les non francophones, ces travaux visent une réduction du cout social de la non-maitrise de la langue et, en dernière instance, une meilleure intégration de tous à la vie de la Cité.
Les textes ici réunis à leur initiative étudient les représentations qui bloquent l'appropriation de la langue et envisagent les moyens d'agir sur elles ; ils proposent des pratiques didactiques propres à favoriser l'appropriation de la langue ; ils donnent à réfléchir sur les réformes de la langue susceptibles de renforcer son appropriabilité. En balisant les pistes menant à une meilleure appropriation du français par les francophones et les non francophones, ces travaux visent une réduction du cout social de la non-maitrise de la langue et, en dernière instance, une meilleure intégration de tous à la vie de la Cité.