Qui était le Chevalier de Saint-Georges (1739-1799) ?
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- Nombre de pages240
- FormatePub
- ISBN2-307-28870-8
- EAN9782307288701
- Date de parution01/01/1972
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille850 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Pavi...
Résumé
Dans ce livre, Odet Denys, avocat honoraire et magistrat honoraire, fait revivre l'histoire de son compatriote Le Chevalier de Saint-Georges, un Guadeloupéen de couleur qui, emmené à Paris vers 1750, à l'âge de dix ans, par son père, un grand seigneur propriétaire de plantations, eut un destin plein de contrastes pittoresques. Homme à la mode et à bonnes fortunes, il prit une grande part aux plaisirs tourbillonnants de l'Ancien Régime finissant, puis connut les orages de la Révolution.
Célèbre virtuose du violon, compositeur fort goûté, initiateur du quatuor à cordes, auteur applaudi de « comédies à ariettes », il excellait en même temps dans tous les exercices du corps, notamment dans le maniement de l'épée, où, dans l'Europe entière, il n'avait pas son égal. La Révolution venue, il embrassa les idées nouvelles. Quand la patrie fut déclarée en danger, il mit sur pied un régiment qui allait devenir le « 13e Régiment de Chasseurs à cheval ».
À la tête de ce régiment, comme chef de brigade, il combattit les Autrichiens dans les Flandres, sous Dumouriez, qu'il ne suivit pas dans sa trahison, à la différence du petit-fils de son protecteur de naguère, le duc d'Orléans. Mis néanmoins en prison sous la Terreur, il y fut maintenu pendant de nombreux mois, mais échappa à la guillotine. Avec un originaire de l'île de Saint-Domingue, commissaire de la République, il se rendit alors dans cette île.
Mais elle était en feu, en proie aux luttes intestines et à la guerre civile. Saint-Georges n'y retrouva point les souvenirs idylliques de son enfance. Revenu deux ans plus tard à Paris, il y traîna une vie désenchantée et, dans la dernière année du siècle, mourut à peu près abandonné.
Célèbre virtuose du violon, compositeur fort goûté, initiateur du quatuor à cordes, auteur applaudi de « comédies à ariettes », il excellait en même temps dans tous les exercices du corps, notamment dans le maniement de l'épée, où, dans l'Europe entière, il n'avait pas son égal. La Révolution venue, il embrassa les idées nouvelles. Quand la patrie fut déclarée en danger, il mit sur pied un régiment qui allait devenir le « 13e Régiment de Chasseurs à cheval ».
À la tête de ce régiment, comme chef de brigade, il combattit les Autrichiens dans les Flandres, sous Dumouriez, qu'il ne suivit pas dans sa trahison, à la différence du petit-fils de son protecteur de naguère, le duc d'Orléans. Mis néanmoins en prison sous la Terreur, il y fut maintenu pendant de nombreux mois, mais échappa à la guillotine. Avec un originaire de l'île de Saint-Domingue, commissaire de la République, il se rendit alors dans cette île.
Mais elle était en feu, en proie aux luttes intestines et à la guerre civile. Saint-Georges n'y retrouva point les souvenirs idylliques de son enfance. Revenu deux ans plus tard à Paris, il y traîna une vie désenchantée et, dans la dernière année du siècle, mourut à peu près abandonné.
Dans ce livre, Odet Denys, avocat honoraire et magistrat honoraire, fait revivre l'histoire de son compatriote Le Chevalier de Saint-Georges, un Guadeloupéen de couleur qui, emmené à Paris vers 1750, à l'âge de dix ans, par son père, un grand seigneur propriétaire de plantations, eut un destin plein de contrastes pittoresques. Homme à la mode et à bonnes fortunes, il prit une grande part aux plaisirs tourbillonnants de l'Ancien Régime finissant, puis connut les orages de la Révolution.
Célèbre virtuose du violon, compositeur fort goûté, initiateur du quatuor à cordes, auteur applaudi de « comédies à ariettes », il excellait en même temps dans tous les exercices du corps, notamment dans le maniement de l'épée, où, dans l'Europe entière, il n'avait pas son égal. La Révolution venue, il embrassa les idées nouvelles. Quand la patrie fut déclarée en danger, il mit sur pied un régiment qui allait devenir le « 13e Régiment de Chasseurs à cheval ».
À la tête de ce régiment, comme chef de brigade, il combattit les Autrichiens dans les Flandres, sous Dumouriez, qu'il ne suivit pas dans sa trahison, à la différence du petit-fils de son protecteur de naguère, le duc d'Orléans. Mis néanmoins en prison sous la Terreur, il y fut maintenu pendant de nombreux mois, mais échappa à la guillotine. Avec un originaire de l'île de Saint-Domingue, commissaire de la République, il se rendit alors dans cette île.
Mais elle était en feu, en proie aux luttes intestines et à la guerre civile. Saint-Georges n'y retrouva point les souvenirs idylliques de son enfance. Revenu deux ans plus tard à Paris, il y traîna une vie désenchantée et, dans la dernière année du siècle, mourut à peu près abandonné.
Célèbre virtuose du violon, compositeur fort goûté, initiateur du quatuor à cordes, auteur applaudi de « comédies à ariettes », il excellait en même temps dans tous les exercices du corps, notamment dans le maniement de l'épée, où, dans l'Europe entière, il n'avait pas son égal. La Révolution venue, il embrassa les idées nouvelles. Quand la patrie fut déclarée en danger, il mit sur pied un régiment qui allait devenir le « 13e Régiment de Chasseurs à cheval ».
À la tête de ce régiment, comme chef de brigade, il combattit les Autrichiens dans les Flandres, sous Dumouriez, qu'il ne suivit pas dans sa trahison, à la différence du petit-fils de son protecteur de naguère, le duc d'Orléans. Mis néanmoins en prison sous la Terreur, il y fut maintenu pendant de nombreux mois, mais échappa à la guillotine. Avec un originaire de l'île de Saint-Domingue, commissaire de la République, il se rendit alors dans cette île.
Mais elle était en feu, en proie aux luttes intestines et à la guerre civile. Saint-Georges n'y retrouva point les souvenirs idylliques de son enfance. Revenu deux ans plus tard à Paris, il y traîna une vie désenchantée et, dans la dernière année du siècle, mourut à peu près abandonné.