Pierre Villon. Membre fondateur du C.N.R., résistant de la première heure
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- Nombre de pages210
- FormatePub
- ISBN2-402-03834-9
- EAN9782402038348
- Date de parution01/01/1982
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille614 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Scan...
Résumé
Pierre Villon est un des noms de guerre - celui qui lui est resté - de Roger Ginsburger. Né en 1901, fils d'un rabbin alsacien, architecte d'avant-garde lié au Bauhaus dans les années vingt, il se rend vite compte que ses conceptions révolutionnaires n'ont aucune chance de se réaliser sous le règne du capital et abandonne sa carrière pour se lancer dans la lutte politique. Il adhère en 1932 au Parti communiste français, qui lui confie bientôt des responsabilités importantes.
Arrêté au début de la guerre, il s'évade et devient un des principaux organisateurs de la Résistance, représentant le Front national au sein du Conseil national de la Résistance. Président du Comité d'action militaire du CNR, il joue un rôle éminent dans la libération de Paris. Son autobiographie, sous forme d'un dialogue avec l'historien Claude Willard, est un témoignage de poids contre les calomnies, si répandues qu'elles sont devenues presque officielles, sur la non-participation des communistes à la Résistance avant l'entrée en guerre de l'URSS.
La maladie et la mort, survenue en 1980, ont interrompu le dialogue, qui s'arrête abruptement à l'année 1955. Jacques Debû-Bridel, qui succède à Pierre Villon à la présidence de l'ANACR, donne quelques compléments sur la fin de sa vie. La correspondance de prison avec Marie-Claude Vaillant-Couturier, donnée en annexe, n'a pas été revue par l'auteur. Elle donne une vision encore plus directe des années 1940-1941, période complexe où se mêlent la lutte, l'espoir et parfois l'illusion.
Dans sa préface, André Lajoinie évoque l'activité de Pierre Villon qui fut, avant lui, député de l'Allier de 1945 à 1978.
Arrêté au début de la guerre, il s'évade et devient un des principaux organisateurs de la Résistance, représentant le Front national au sein du Conseil national de la Résistance. Président du Comité d'action militaire du CNR, il joue un rôle éminent dans la libération de Paris. Son autobiographie, sous forme d'un dialogue avec l'historien Claude Willard, est un témoignage de poids contre les calomnies, si répandues qu'elles sont devenues presque officielles, sur la non-participation des communistes à la Résistance avant l'entrée en guerre de l'URSS.
La maladie et la mort, survenue en 1980, ont interrompu le dialogue, qui s'arrête abruptement à l'année 1955. Jacques Debû-Bridel, qui succède à Pierre Villon à la présidence de l'ANACR, donne quelques compléments sur la fin de sa vie. La correspondance de prison avec Marie-Claude Vaillant-Couturier, donnée en annexe, n'a pas été revue par l'auteur. Elle donne une vision encore plus directe des années 1940-1941, période complexe où se mêlent la lutte, l'espoir et parfois l'illusion.
Dans sa préface, André Lajoinie évoque l'activité de Pierre Villon qui fut, avant lui, député de l'Allier de 1945 à 1978.
Pierre Villon est un des noms de guerre - celui qui lui est resté - de Roger Ginsburger. Né en 1901, fils d'un rabbin alsacien, architecte d'avant-garde lié au Bauhaus dans les années vingt, il se rend vite compte que ses conceptions révolutionnaires n'ont aucune chance de se réaliser sous le règne du capital et abandonne sa carrière pour se lancer dans la lutte politique. Il adhère en 1932 au Parti communiste français, qui lui confie bientôt des responsabilités importantes.
Arrêté au début de la guerre, il s'évade et devient un des principaux organisateurs de la Résistance, représentant le Front national au sein du Conseil national de la Résistance. Président du Comité d'action militaire du CNR, il joue un rôle éminent dans la libération de Paris. Son autobiographie, sous forme d'un dialogue avec l'historien Claude Willard, est un témoignage de poids contre les calomnies, si répandues qu'elles sont devenues presque officielles, sur la non-participation des communistes à la Résistance avant l'entrée en guerre de l'URSS.
La maladie et la mort, survenue en 1980, ont interrompu le dialogue, qui s'arrête abruptement à l'année 1955. Jacques Debû-Bridel, qui succède à Pierre Villon à la présidence de l'ANACR, donne quelques compléments sur la fin de sa vie. La correspondance de prison avec Marie-Claude Vaillant-Couturier, donnée en annexe, n'a pas été revue par l'auteur. Elle donne une vision encore plus directe des années 1940-1941, période complexe où se mêlent la lutte, l'espoir et parfois l'illusion.
Dans sa préface, André Lajoinie évoque l'activité de Pierre Villon qui fut, avant lui, député de l'Allier de 1945 à 1978.
Arrêté au début de la guerre, il s'évade et devient un des principaux organisateurs de la Résistance, représentant le Front national au sein du Conseil national de la Résistance. Président du Comité d'action militaire du CNR, il joue un rôle éminent dans la libération de Paris. Son autobiographie, sous forme d'un dialogue avec l'historien Claude Willard, est un témoignage de poids contre les calomnies, si répandues qu'elles sont devenues presque officielles, sur la non-participation des communistes à la Résistance avant l'entrée en guerre de l'URSS.
La maladie et la mort, survenue en 1980, ont interrompu le dialogue, qui s'arrête abruptement à l'année 1955. Jacques Debû-Bridel, qui succède à Pierre Villon à la présidence de l'ANACR, donne quelques compléments sur la fin de sa vie. La correspondance de prison avec Marie-Claude Vaillant-Couturier, donnée en annexe, n'a pas été revue par l'auteur. Elle donne une vision encore plus directe des années 1940-1941, période complexe où se mêlent la lutte, l'espoir et parfois l'illusion.
Dans sa préface, André Lajoinie évoque l'activité de Pierre Villon qui fut, avant lui, député de l'Allier de 1945 à 1978.