Peut-on changer notre vision du monde ?. De l'individualisme néolibéral à l'individuation
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- FormatePub
- ISBN979-10-262-7091-1
- EAN9791026270911
- Date de parution26/02/2021
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille420 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLibrinova
Résumé
La vision du monde occidentale n'est pas la seule norme. Dans d'autres cultures, et notamment en Asie, il existe différentes manières d'être au monde. Et il est grand temps de les découvrir, de les penser.
La vision du monde, c'est le pouvoir de notre imaginaire. C'est elle qui régit nos représentations mentales et a fortiori notre façon d'être. En Occident, l'individualisme est au cour de la modernité et des fondements de la civilisation.
Toutefois, deux formes d'individualisme s'affrontent : l'individualisme atomiste (ou égocentré) et l'individualisme relationnel. Le premier est la forme dominante depuis des siècles, elle est nourrie par l'expansion du capitalisme et du néolibéralisme ; le deuxième tient au processus d'individuation qui rend, par la diversité de ses relations, chaque personne unique et indispensable. "L'être est relation". Les sciences biologiques et humaines découvrent que le processus relationnel d'individuation est au cour du monde vivant.
Il est mieux à même de répondre à nos défis écologiques et sociaux actuels. Il est nécessaire, voire vital, de modifier notre façon d'être au monde par le biais de nos imaginaires et en accordant une priorité à la création culturelle. Un ouvrage pédagogue et pertinent sur la puissance de nos représentations mentales, qui amènera sans nul doute à réfléchir, peut-être à repenser, notre individualisme.
Toutefois, deux formes d'individualisme s'affrontent : l'individualisme atomiste (ou égocentré) et l'individualisme relationnel. Le premier est la forme dominante depuis des siècles, elle est nourrie par l'expansion du capitalisme et du néolibéralisme ; le deuxième tient au processus d'individuation qui rend, par la diversité de ses relations, chaque personne unique et indispensable. "L'être est relation". Les sciences biologiques et humaines découvrent que le processus relationnel d'individuation est au cour du monde vivant.
Il est mieux à même de répondre à nos défis écologiques et sociaux actuels. Il est nécessaire, voire vital, de modifier notre façon d'être au monde par le biais de nos imaginaires et en accordant une priorité à la création culturelle. Un ouvrage pédagogue et pertinent sur la puissance de nos représentations mentales, qui amènera sans nul doute à réfléchir, peut-être à repenser, notre individualisme.
La vision du monde occidentale n'est pas la seule norme. Dans d'autres cultures, et notamment en Asie, il existe différentes manières d'être au monde. Et il est grand temps de les découvrir, de les penser.
La vision du monde, c'est le pouvoir de notre imaginaire. C'est elle qui régit nos représentations mentales et a fortiori notre façon d'être. En Occident, l'individualisme est au cour de la modernité et des fondements de la civilisation.
Toutefois, deux formes d'individualisme s'affrontent : l'individualisme atomiste (ou égocentré) et l'individualisme relationnel. Le premier est la forme dominante depuis des siècles, elle est nourrie par l'expansion du capitalisme et du néolibéralisme ; le deuxième tient au processus d'individuation qui rend, par la diversité de ses relations, chaque personne unique et indispensable. "L'être est relation". Les sciences biologiques et humaines découvrent que le processus relationnel d'individuation est au cour du monde vivant.
Il est mieux à même de répondre à nos défis écologiques et sociaux actuels. Il est nécessaire, voire vital, de modifier notre façon d'être au monde par le biais de nos imaginaires et en accordant une priorité à la création culturelle. Un ouvrage pédagogue et pertinent sur la puissance de nos représentations mentales, qui amènera sans nul doute à réfléchir, peut-être à repenser, notre individualisme.
Toutefois, deux formes d'individualisme s'affrontent : l'individualisme atomiste (ou égocentré) et l'individualisme relationnel. Le premier est la forme dominante depuis des siècles, elle est nourrie par l'expansion du capitalisme et du néolibéralisme ; le deuxième tient au processus d'individuation qui rend, par la diversité de ses relations, chaque personne unique et indispensable. "L'être est relation". Les sciences biologiques et humaines découvrent que le processus relationnel d'individuation est au cour du monde vivant.
Il est mieux à même de répondre à nos défis écologiques et sociaux actuels. Il est nécessaire, voire vital, de modifier notre façon d'être au monde par le biais de nos imaginaires et en accordant une priorité à la création culturelle. Un ouvrage pédagogue et pertinent sur la puissance de nos représentations mentales, qui amènera sans nul doute à réfléchir, peut-être à repenser, notre individualisme.