Peter Pan. approche symbolique maçonnique et hermétique du conte de fées
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- Nombre de pages78
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-36353-021-9
- EAN9782363530219
- Date de parution21/10/2011
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub sans ...
- ÉditeurÉditions La Pierre Philosophale
Résumé
La tradition orale fut confiée au peuple lequel, s'il est ignorant de la somme de connaissances qu'il transporte, n'oublie jamais rien.
D'un siècle à l'autre, les contes, les comptines et les jeux se sont transmis avec une rigoureuse exactitude, sans que la moindre virgule en ait été omise, la moindre règle transformée. Sous des dehors naïfs, les contes bleus, bleus comme le manteau de Jupiter
(il y a là matière à réflexion pour les francs maçons des loges bleues...
n'est-ce pas ?), également appelés contes de bonne femme ou Contes de fées, sont destinés à nous délocaliser, à nous mettre dans un état de plus grande réceptivité. Il est évident que les histoires en question sont des contes à dormir debout. Soit!... Pour ce faire, les artistes utilisèrent un langage particulier basé sur les à-peu près phonétiques. Les rébus, les charades, les homophonies, les jeux de mots furent autant de moyens dont usèrent les Philosophes afin de masquer leur pensée.
Ainsi qui s'est aperçu que « Peter Pan » (la Pierre Universelle) n'était qu'une allégorie d'Hermès (maître des lieux souterrains, de la mer et des airs) et de la Pierre Philosophale ?
n'est-ce pas ?), également appelés contes de bonne femme ou Contes de fées, sont destinés à nous délocaliser, à nous mettre dans un état de plus grande réceptivité. Il est évident que les histoires en question sont des contes à dormir debout. Soit!... Pour ce faire, les artistes utilisèrent un langage particulier basé sur les à-peu près phonétiques. Les rébus, les charades, les homophonies, les jeux de mots furent autant de moyens dont usèrent les Philosophes afin de masquer leur pensée.
Ainsi qui s'est aperçu que « Peter Pan » (la Pierre Universelle) n'était qu'une allégorie d'Hermès (maître des lieux souterrains, de la mer et des airs) et de la Pierre Philosophale ?
La tradition orale fut confiée au peuple lequel, s'il est ignorant de la somme de connaissances qu'il transporte, n'oublie jamais rien.
D'un siècle à l'autre, les contes, les comptines et les jeux se sont transmis avec une rigoureuse exactitude, sans que la moindre virgule en ait été omise, la moindre règle transformée. Sous des dehors naïfs, les contes bleus, bleus comme le manteau de Jupiter
(il y a là matière à réflexion pour les francs maçons des loges bleues...
n'est-ce pas ?), également appelés contes de bonne femme ou Contes de fées, sont destinés à nous délocaliser, à nous mettre dans un état de plus grande réceptivité. Il est évident que les histoires en question sont des contes à dormir debout. Soit!... Pour ce faire, les artistes utilisèrent un langage particulier basé sur les à-peu près phonétiques. Les rébus, les charades, les homophonies, les jeux de mots furent autant de moyens dont usèrent les Philosophes afin de masquer leur pensée.
Ainsi qui s'est aperçu que « Peter Pan » (la Pierre Universelle) n'était qu'une allégorie d'Hermès (maître des lieux souterrains, de la mer et des airs) et de la Pierre Philosophale ?
n'est-ce pas ?), également appelés contes de bonne femme ou Contes de fées, sont destinés à nous délocaliser, à nous mettre dans un état de plus grande réceptivité. Il est évident que les histoires en question sont des contes à dormir debout. Soit!... Pour ce faire, les artistes utilisèrent un langage particulier basé sur les à-peu près phonétiques. Les rébus, les charades, les homophonies, les jeux de mots furent autant de moyens dont usèrent les Philosophes afin de masquer leur pensée.
Ainsi qui s'est aperçu que « Peter Pan » (la Pierre Universelle) n'était qu'une allégorie d'Hermès (maître des lieux souterrains, de la mer et des airs) et de la Pierre Philosophale ?