D'un chemin de terre à une rue principale, d'une cour d'école à une cache au fond des bois, Maxime Boudreau dessine les contours du Nord du Nouveau-Brunswick. Tour à tour chasseur, joueur et souffre-douleur, le poète épaule son fusil, met en joue et, coup pour coup, fait voler en éclats les conventions sociales qui dictent son existence. Dans ces poèmes qui empruntent les trails tapées par Sébastien Bérubé se jouent les premières notes d'un refrain à la fois simple et grandiose : bienvenue chenous.
D'un chemin de terre à une rue principale, d'une cour d'école à une cache au fond des bois, Maxime Boudreau dessine les contours du Nord du Nouveau-Brunswick. Tour à tour chasseur, joueur et souffre-douleur, le poète épaule son fusil, met en joue et, coup pour coup, fait voler en éclats les conventions sociales qui dictent son existence. Dans ces poèmes qui empruntent les trails tapées par Sébastien Bérubé se jouent les premières notes d'un refrain à la fois simple et grandiose : bienvenue chenous.