MEI N° 24/25
Etudes culturelles & Cultural Studies
Par : Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages262
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-16759-9
- EAN9782296167599
- Date de parution01/03/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les Cultural Studies qui font l'objet de cet ouvrage sont apparues dans les années soixante à Birmingham, à quelques centaines de kilomètres de la France. Or ces théories n'ont pas traversé la Manche, alors qu'elles se répandaient dans tout le monde anglo-saxon. De leur côté, les French Theories (Baudrillard, Barthes, Bourdieu, Certeau, Deleuze, Derrida, Foucault, Guattari, Lacan, Lyotard, etc.) qui ont participé à l'enrichissement des "études culturelles" n'ont pas contribué en France à l'émergence d'un secteur de recherche spécifique.
Pourtant, hors de France et de la zone francophone, et à l'exception du Québec, les Cultural Studies et leur nombreuse descendance constituent un grand mouvement de doute et de protestation, de questionnement et de recherche, de décentrement et de recentrement, de désarticulation et de re-articulation, de déconstruction et de re-signification qui s'intéresse à toutes les institutions chargées de maintenir des rapports asymétriques de pouvoir et de domination.
Le patriarcat oppressant, l'impérialisme écrasant, les Etats-nations uniformisant, l'Occident dominant, etc. sont tous de grands générateurs de hiérarchies que les Cultural Studies démontent patiemment. Les sujets ne sont pas près d'être épuisés mais à chaque pas c'est un peu plus de démocratie critique qui entre dans le monde académique et, au-delà. dans la société. De Belgique, de Suisse, de Tunisie et de France, vingt-quatre chercheurs donnent leur avis sur les études culturelles et rendent compte de leurs recherches en sciences humaines, très humaines.
Pourtant, hors de France et de la zone francophone, et à l'exception du Québec, les Cultural Studies et leur nombreuse descendance constituent un grand mouvement de doute et de protestation, de questionnement et de recherche, de décentrement et de recentrement, de désarticulation et de re-articulation, de déconstruction et de re-signification qui s'intéresse à toutes les institutions chargées de maintenir des rapports asymétriques de pouvoir et de domination.
Le patriarcat oppressant, l'impérialisme écrasant, les Etats-nations uniformisant, l'Occident dominant, etc. sont tous de grands générateurs de hiérarchies que les Cultural Studies démontent patiemment. Les sujets ne sont pas près d'être épuisés mais à chaque pas c'est un peu plus de démocratie critique qui entre dans le monde académique et, au-delà. dans la société. De Belgique, de Suisse, de Tunisie et de France, vingt-quatre chercheurs donnent leur avis sur les études culturelles et rendent compte de leurs recherches en sciences humaines, très humaines.
Les Cultural Studies qui font l'objet de cet ouvrage sont apparues dans les années soixante à Birmingham, à quelques centaines de kilomètres de la France. Or ces théories n'ont pas traversé la Manche, alors qu'elles se répandaient dans tout le monde anglo-saxon. De leur côté, les French Theories (Baudrillard, Barthes, Bourdieu, Certeau, Deleuze, Derrida, Foucault, Guattari, Lacan, Lyotard, etc.) qui ont participé à l'enrichissement des "études culturelles" n'ont pas contribué en France à l'émergence d'un secteur de recherche spécifique.
Pourtant, hors de France et de la zone francophone, et à l'exception du Québec, les Cultural Studies et leur nombreuse descendance constituent un grand mouvement de doute et de protestation, de questionnement et de recherche, de décentrement et de recentrement, de désarticulation et de re-articulation, de déconstruction et de re-signification qui s'intéresse à toutes les institutions chargées de maintenir des rapports asymétriques de pouvoir et de domination.
Le patriarcat oppressant, l'impérialisme écrasant, les Etats-nations uniformisant, l'Occident dominant, etc. sont tous de grands générateurs de hiérarchies que les Cultural Studies démontent patiemment. Les sujets ne sont pas près d'être épuisés mais à chaque pas c'est un peu plus de démocratie critique qui entre dans le monde académique et, au-delà. dans la société. De Belgique, de Suisse, de Tunisie et de France, vingt-quatre chercheurs donnent leur avis sur les études culturelles et rendent compte de leurs recherches en sciences humaines, très humaines.
Pourtant, hors de France et de la zone francophone, et à l'exception du Québec, les Cultural Studies et leur nombreuse descendance constituent un grand mouvement de doute et de protestation, de questionnement et de recherche, de décentrement et de recentrement, de désarticulation et de re-articulation, de déconstruction et de re-signification qui s'intéresse à toutes les institutions chargées de maintenir des rapports asymétriques de pouvoir et de domination.
Le patriarcat oppressant, l'impérialisme écrasant, les Etats-nations uniformisant, l'Occident dominant, etc. sont tous de grands générateurs de hiérarchies que les Cultural Studies démontent patiemment. Les sujets ne sont pas près d'être épuisés mais à chaque pas c'est un peu plus de démocratie critique qui entre dans le monde académique et, au-delà. dans la société. De Belgique, de Suisse, de Tunisie et de France, vingt-quatre chercheurs donnent leur avis sur les études culturelles et rendent compte de leurs recherches en sciences humaines, très humaines.