Marchands, salariat et capitalistes

Par : Benetti

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  • Nombre de pages208
  • FormatePub
  • ISBN2-348-00769-X
  • EAN9782348007699
  • Date de parution31/12/1979
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille50 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLa Découverte (réédition numériq...

Résumé

Cet ouvrage, le quatorzième de la collection Intervention en économie politique, propose une description raisonnée de l'économie capitaliste. Spontanément, l'activité économique est perçue au travers des catégories et modes de penser, auxquels plus de deux siècles d'économie politique de la valeur nous ont accoutumés (offre/demande, prix naturels/prix de marché, valeur/réalisation, etc.). L'explication des fondements d'une représentation alternative permet, tout à la fois de marquer une rupture au niveau des hypothèses de départ, de se dégager de l'emprise de conceptions naturellement acceptées (la fable du troc, par exemple), et d'ouvrir des perspectives différentes.
Le concept central est la séparation en ses différents modes, impliquant, de toute façon, l'unité de compte et la monnaie. Les principes généraux qui s'en déduisent, éclairent quelques difficultés non résolues de l'économie politique (indétermination de la monnaie, ajustement, nomenclature, rapport entre marchandise et capital). L'analyse des conditions de formation des marchands et des capitalistes révèle, notamment, que leur coexistence est impensable.
À partir de l'étude des formes des relations monétaires, le caractère non marchand du salariat est démontré. L'économie fondée sur le rapport salarial, n'a pas le même mode de séparation des unités économiques, que celle caractérisée par la marchandise : la crise ne s'y résout pas par la formation des marchands, mais par celle des capitalistes. Maintes difficultés et contradictions des textes de Smith et de Marx procèdent d'une intuition erronée : ce n'est pas la marchandise, qui est l'élément commun à la société marchande et au mode de production capitaliste, c'est la monnaie.
Les notes sur Marx, qui forment le dernier tiers du livre, se présentent comme autant de contributions ponctuelles à la discussion du marxisme, dont maints signes attestent le renouvellement, tant au point de vue des thèmes abordés qu'à celui de l'esprit dans lequel il se tient.
Cet ouvrage, le quatorzième de la collection Intervention en économie politique, propose une description raisonnée de l'économie capitaliste. Spontanément, l'activité économique est perçue au travers des catégories et modes de penser, auxquels plus de deux siècles d'économie politique de la valeur nous ont accoutumés (offre/demande, prix naturels/prix de marché, valeur/réalisation, etc.). L'explication des fondements d'une représentation alternative permet, tout à la fois de marquer une rupture au niveau des hypothèses de départ, de se dégager de l'emprise de conceptions naturellement acceptées (la fable du troc, par exemple), et d'ouvrir des perspectives différentes.
Le concept central est la séparation en ses différents modes, impliquant, de toute façon, l'unité de compte et la monnaie. Les principes généraux qui s'en déduisent, éclairent quelques difficultés non résolues de l'économie politique (indétermination de la monnaie, ajustement, nomenclature, rapport entre marchandise et capital). L'analyse des conditions de formation des marchands et des capitalistes révèle, notamment, que leur coexistence est impensable.
À partir de l'étude des formes des relations monétaires, le caractère non marchand du salariat est démontré. L'économie fondée sur le rapport salarial, n'a pas le même mode de séparation des unités économiques, que celle caractérisée par la marchandise : la crise ne s'y résout pas par la formation des marchands, mais par celle des capitalistes. Maintes difficultés et contradictions des textes de Smith et de Marx procèdent d'une intuition erronée : ce n'est pas la marchandise, qui est l'élément commun à la société marchande et au mode de production capitaliste, c'est la monnaie.
Les notes sur Marx, qui forment le dernier tiers du livre, se présentent comme autant de contributions ponctuelles à la discussion du marxisme, dont maints signes attestent le renouvellement, tant au point de vue des thèmes abordés qu'à celui de l'esprit dans lequel il se tient.