Les institutions de la France moderne. Les institutions de la France moderne
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages192
- FormatePub
- ISBN978-2-200-60110-2
- EAN9782200601102
- Date de parution24/09/2014
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille892 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurArmand Colin
Résumé
Cet ouvrage propose une analyse méthodique des institutions de la France dite moderne, depuis le milieu du XVe siècle, fin de la guerre de Cent Ans, jusqu'à 1789, début de la Révolution. Cette longue période est dominée par la montée en puissance de l'État royal, mais également marquée par le décalage constant entre volontarisme politique et réalité sociale. Une première partie détaille les institutions monarchiques, depuis la personne du roi jusqu'à celle de ses agents, au niveau central, puis provincial.
Elle met en lumière les rapports, souvent ambigus, voire conflictuels, qui existent entre le quadrillage souverain et des réalités institutionnelles préexistantes. Celles-ci sont largement décrites dans la deuxième partie de l'ouvrage : Église, seigneuries, communautés d'habitants, villes, assemblées d'états sont présentées dans leur fonctionnement et dans leur relation à la monarchie. L'auteur s'attache à souligner leurs caractéristiques spécifiques et achève ce panorama par l'évocation des marges confessionnelles et sociales, hors du cadre institutionnel classique.
Elle met en lumière les rapports, souvent ambigus, voire conflictuels, qui existent entre le quadrillage souverain et des réalités institutionnelles préexistantes. Celles-ci sont largement décrites dans la deuxième partie de l'ouvrage : Église, seigneuries, communautés d'habitants, villes, assemblées d'états sont présentées dans leur fonctionnement et dans leur relation à la monarchie. L'auteur s'attache à souligner leurs caractéristiques spécifiques et achève ce panorama par l'évocation des marges confessionnelles et sociales, hors du cadre institutionnel classique.
Cet ouvrage propose une analyse méthodique des institutions de la France dite moderne, depuis le milieu du XVe siècle, fin de la guerre de Cent Ans, jusqu'à 1789, début de la Révolution. Cette longue période est dominée par la montée en puissance de l'État royal, mais également marquée par le décalage constant entre volontarisme politique et réalité sociale. Une première partie détaille les institutions monarchiques, depuis la personne du roi jusqu'à celle de ses agents, au niveau central, puis provincial.
Elle met en lumière les rapports, souvent ambigus, voire conflictuels, qui existent entre le quadrillage souverain et des réalités institutionnelles préexistantes. Celles-ci sont largement décrites dans la deuxième partie de l'ouvrage : Église, seigneuries, communautés d'habitants, villes, assemblées d'états sont présentées dans leur fonctionnement et dans leur relation à la monarchie. L'auteur s'attache à souligner leurs caractéristiques spécifiques et achève ce panorama par l'évocation des marges confessionnelles et sociales, hors du cadre institutionnel classique.
Elle met en lumière les rapports, souvent ambigus, voire conflictuels, qui existent entre le quadrillage souverain et des réalités institutionnelles préexistantes. Celles-ci sont largement décrites dans la deuxième partie de l'ouvrage : Église, seigneuries, communautés d'habitants, villes, assemblées d'états sont présentées dans leur fonctionnement et dans leur relation à la monarchie. L'auteur s'attache à souligner leurs caractéristiques spécifiques et achève ce panorama par l'évocation des marges confessionnelles et sociales, hors du cadre institutionnel classique.