Les hypothèses de l'échec. Précédé du texte O.Henry, nous voilà ! d’Antoine Blondin
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages168
- FormatePub
- ISBN978-2-37941-186-1
- EAN9782379411861
- Date de parution18/03/2021
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurL'Arbre vengeur
- TraducteurMichèle Valencia
- IllustrateurStéphane Trapier
Résumé
Huit nouvelles sur l'imposture qui mettent en scène des New Yorkais pathétiques ou malins. Une manière en huit variations de découvrir l'étonnante palette comique de cet humoriste qui fit la jonction entre Twain et les comiques du New Yorker, doué d'un sens du récit qui en fait un modèle pour une ribambelle d'écrivains américains. Son univers amusant l'a malheureusement coupé d'une partie d'un lectorat, surtout en France, qui n'a vu en lui qu'un humoriste là où il y avait bien du Tchékhov (en moins slave).
C'est un des plus célèbre prisonnier de la littérature..
O. Henry (1862-1910), de son vrai nom William Sydney Porter, a effectivement fait trois ans de prison au motif qu'il aurait détourné de l'argent lorsqu'il travaillait dans une banque. Il avait commencé dès 1884 à écrire des chroniques humoristiques. Libéré, il se consacre à plein temps à la rédaction de nouvelles (400..) qui lui vaudront la gloire, posthume notamment. New Yorkais, il a fait de sa ville le décor de ses hilarantes histoires.
O. Henry (1862-1910), de son vrai nom William Sydney Porter, a effectivement fait trois ans de prison au motif qu'il aurait détourné de l'argent lorsqu'il travaillait dans une banque. Il avait commencé dès 1884 à écrire des chroniques humoristiques. Libéré, il se consacre à plein temps à la rédaction de nouvelles (400..) qui lui vaudront la gloire, posthume notamment. New Yorkais, il a fait de sa ville le décor de ses hilarantes histoires.
Huit nouvelles sur l'imposture qui mettent en scène des New Yorkais pathétiques ou malins. Une manière en huit variations de découvrir l'étonnante palette comique de cet humoriste qui fit la jonction entre Twain et les comiques du New Yorker, doué d'un sens du récit qui en fait un modèle pour une ribambelle d'écrivains américains. Son univers amusant l'a malheureusement coupé d'une partie d'un lectorat, surtout en France, qui n'a vu en lui qu'un humoriste là où il y avait bien du Tchékhov (en moins slave).
C'est un des plus célèbre prisonnier de la littérature..
O. Henry (1862-1910), de son vrai nom William Sydney Porter, a effectivement fait trois ans de prison au motif qu'il aurait détourné de l'argent lorsqu'il travaillait dans une banque. Il avait commencé dès 1884 à écrire des chroniques humoristiques. Libéré, il se consacre à plein temps à la rédaction de nouvelles (400..) qui lui vaudront la gloire, posthume notamment. New Yorkais, il a fait de sa ville le décor de ses hilarantes histoires.
O. Henry (1862-1910), de son vrai nom William Sydney Porter, a effectivement fait trois ans de prison au motif qu'il aurait détourné de l'argent lorsqu'il travaillait dans une banque. Il avait commencé dès 1884 à écrire des chroniques humoristiques. Libéré, il se consacre à plein temps à la rédaction de nouvelles (400..) qui lui vaudront la gloire, posthume notamment. New Yorkais, il a fait de sa ville le décor de ses hilarantes histoires.










