Les chauves. Histoire d'un préjugé dans la Rome antique

Par : Robinson Baudry, Caroline Husquin
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  • Nombre de pages320
  • FormatePub
  • ISBN978-2-200-64218-1
  • EAN9782200642181
  • Date de parution23/04/2025
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille687 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurArmand Colin

Résumé

La calvitie comme fait politique, social et culturel spécifique au cours de la Rome antique. Spécificité la plus remarquable, la calvitie est un point de vulnérabilité politique, que ce soit à l'époque républicaine, où elle constitue un motif d'invective et un objet de raillerie, ou à l'époque impériale, où elle fonctionne comme un prétexte de dénigrement des empereurs. Pourquoi rire d'un trait physique, pourquoi s'en saisir dans un contexte de joute politique  ? Car la calvitie signale un écart par rapport à l'idéal du bon citoyen.
Pire, lecture physiognomonique à l'appui, elle est associée à des tares morales et politiques  : inclination à la débauche et à la tyrannie. L'opprobre des chauves vient-elle de l'Antiquité ? Avec cet essai inédit qui s'inscrit dans le renouveau de l'histoire sensible et culturelle, Robinson Baudry et Caroline Husquin, proposent une lecture impertinente de la Rome antique. A travers les multiples représentations du chauve, ils pénètrent les strates sociales et les jeux de pouvoirs sociaux, politiques et militaires.
La calvitie comme fait politique, social et culturel spécifique au cours de la Rome antique. Spécificité la plus remarquable, la calvitie est un point de vulnérabilité politique, que ce soit à l'époque républicaine, où elle constitue un motif d'invective et un objet de raillerie, ou à l'époque impériale, où elle fonctionne comme un prétexte de dénigrement des empereurs. Pourquoi rire d'un trait physique, pourquoi s'en saisir dans un contexte de joute politique  ? Car la calvitie signale un écart par rapport à l'idéal du bon citoyen.
Pire, lecture physiognomonique à l'appui, elle est associée à des tares morales et politiques  : inclination à la débauche et à la tyrannie. L'opprobre des chauves vient-elle de l'Antiquité ? Avec cet essai inédit qui s'inscrit dans le renouveau de l'histoire sensible et culturelle, Robinson Baudry et Caroline Husquin, proposent une lecture impertinente de la Rome antique. A travers les multiples représentations du chauve, ils pénètrent les strates sociales et les jeux de pouvoirs sociaux, politiques et militaires.