Les Carnets de Guantanamo. CARNETS DE GUANTANAMO -LES [NUM]
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages355
- FormatePub
- ISBN978-2-7499-2534-9
- EAN9782749925349
- Date de parution21/01/2015
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurMichel Lafon
Résumé
Au mépris de toutes les garanties prévues par la loi, mon pays m'a livré aux États-Unis, comme si j'étais une sucrerie. Les Américains m'ont envoyé en Jordanie pour y être torturé, puis à Bagram et enfin ici [.]. Je vis hors du monde depuis plus de quatre ans. Mohamedou Slahi, Guantánamo, 13 décembre 2005
Emprisonné depuis août 2002 à Guantánamo, Mohamedou Ould Slahi n'a jamais été inculpé par la justice américaine.
Et alors qu'un juge fédéral a ordonné sa libération, le gouvernement des États-Unis a décidé d'ignorer cette décision et ne donne aucun signe d'une quelconque volonté de lui rendre sa liberté. En 2005, trois ans après son arrestation, Mohamedou a commencé à rédiger un journal. Pendant des mois, il a écrit ses mémoires à la main, racontant sa vie avant de disparaître dans les limbes de Guantánamo, pour ce qu'il qualifie « d'interminable tour du monde » de la détention et des interrogatoires.
Son journal n'est pas seulement une chronique captivante d'un déni de justice, c'est aussi un récit profondément personnel : terrifiant, parfois férocement drôle, et d'une grande élégance. Publiés pour la première fois, Les Carnets de Guantánamo sont un document d'une importance historique unique.
Et alors qu'un juge fédéral a ordonné sa libération, le gouvernement des États-Unis a décidé d'ignorer cette décision et ne donne aucun signe d'une quelconque volonté de lui rendre sa liberté. En 2005, trois ans après son arrestation, Mohamedou a commencé à rédiger un journal. Pendant des mois, il a écrit ses mémoires à la main, racontant sa vie avant de disparaître dans les limbes de Guantánamo, pour ce qu'il qualifie « d'interminable tour du monde » de la détention et des interrogatoires.
Son journal n'est pas seulement une chronique captivante d'un déni de justice, c'est aussi un récit profondément personnel : terrifiant, parfois férocement drôle, et d'une grande élégance. Publiés pour la première fois, Les Carnets de Guantánamo sont un document d'une importance historique unique.
Au mépris de toutes les garanties prévues par la loi, mon pays m'a livré aux États-Unis, comme si j'étais une sucrerie. Les Américains m'ont envoyé en Jordanie pour y être torturé, puis à Bagram et enfin ici [.]. Je vis hors du monde depuis plus de quatre ans. Mohamedou Slahi, Guantánamo, 13 décembre 2005
Emprisonné depuis août 2002 à Guantánamo, Mohamedou Ould Slahi n'a jamais été inculpé par la justice américaine.
Et alors qu'un juge fédéral a ordonné sa libération, le gouvernement des États-Unis a décidé d'ignorer cette décision et ne donne aucun signe d'une quelconque volonté de lui rendre sa liberté. En 2005, trois ans après son arrestation, Mohamedou a commencé à rédiger un journal. Pendant des mois, il a écrit ses mémoires à la main, racontant sa vie avant de disparaître dans les limbes de Guantánamo, pour ce qu'il qualifie « d'interminable tour du monde » de la détention et des interrogatoires.
Son journal n'est pas seulement une chronique captivante d'un déni de justice, c'est aussi un récit profondément personnel : terrifiant, parfois férocement drôle, et d'une grande élégance. Publiés pour la première fois, Les Carnets de Guantánamo sont un document d'une importance historique unique.
Et alors qu'un juge fédéral a ordonné sa libération, le gouvernement des États-Unis a décidé d'ignorer cette décision et ne donne aucun signe d'une quelconque volonté de lui rendre sa liberté. En 2005, trois ans après son arrestation, Mohamedou a commencé à rédiger un journal. Pendant des mois, il a écrit ses mémoires à la main, racontant sa vie avant de disparaître dans les limbes de Guantánamo, pour ce qu'il qualifie « d'interminable tour du monde » de la détention et des interrogatoires.
Son journal n'est pas seulement une chronique captivante d'un déni de justice, c'est aussi un récit profondément personnel : terrifiant, parfois férocement drôle, et d'une grande élégance. Publiés pour la première fois, Les Carnets de Guantánamo sont un document d'une importance historique unique.