Les bourgeois du crépuscule
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- Nombre de pages160
- FormatePub
- ISBN2-402-06880-9
- EAN9782402068802
- Date de parution01/01/1997
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille625 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Arlé...
Résumé
Les bourgeois du crépuscule marchent comme en plein jour. Arrogants, ils croient tout voir, tout savoir, mais ils sont aveugles au monde qui les entoure. Ils prétendent connaître la réalité, mais ils sont égarés dans les illusions statistiques, le flou des sondages, l'ombre épaisse de leurs préjugés. Leur apparence courtoise cache un mépris de fer pour le peuple qu'ils sont censés servir et pour les principes démocratiques qu'ils célèbrent dans leurs discours.
La liberté leur fait peur, ils récusent la justice sociale et détestent l'égalité. Tels sont nos Maîtres. De petits maîtres en vérité. Ils veulent le pouvoir, mais refusent de l'exercer. Ils bavardent sur la concurrence mondialisée, mais vivent dans le monde clos des privilèges. Ce sont des jouisseurs tristes, des intellectuels sans pensée. Faute de courage politique et de sens de l'État ils détruisent les services publics, liquident les entreprises nationales, renoncent à la souveraineté de la nation.
Il ne faut pas les laisser faire, ni se laisser impressionner : ces petits maîtres ne sont pas toute la bourgeoisie mais une frange minuscule, une écume. Peu de choses suffiraient pour qu'ils ne soient plus rien.
La liberté leur fait peur, ils récusent la justice sociale et détestent l'égalité. Tels sont nos Maîtres. De petits maîtres en vérité. Ils veulent le pouvoir, mais refusent de l'exercer. Ils bavardent sur la concurrence mondialisée, mais vivent dans le monde clos des privilèges. Ce sont des jouisseurs tristes, des intellectuels sans pensée. Faute de courage politique et de sens de l'État ils détruisent les services publics, liquident les entreprises nationales, renoncent à la souveraineté de la nation.
Il ne faut pas les laisser faire, ni se laisser impressionner : ces petits maîtres ne sont pas toute la bourgeoisie mais une frange minuscule, une écume. Peu de choses suffiraient pour qu'ils ne soient plus rien.
Les bourgeois du crépuscule marchent comme en plein jour. Arrogants, ils croient tout voir, tout savoir, mais ils sont aveugles au monde qui les entoure. Ils prétendent connaître la réalité, mais ils sont égarés dans les illusions statistiques, le flou des sondages, l'ombre épaisse de leurs préjugés. Leur apparence courtoise cache un mépris de fer pour le peuple qu'ils sont censés servir et pour les principes démocratiques qu'ils célèbrent dans leurs discours.
La liberté leur fait peur, ils récusent la justice sociale et détestent l'égalité. Tels sont nos Maîtres. De petits maîtres en vérité. Ils veulent le pouvoir, mais refusent de l'exercer. Ils bavardent sur la concurrence mondialisée, mais vivent dans le monde clos des privilèges. Ce sont des jouisseurs tristes, des intellectuels sans pensée. Faute de courage politique et de sens de l'État ils détruisent les services publics, liquident les entreprises nationales, renoncent à la souveraineté de la nation.
Il ne faut pas les laisser faire, ni se laisser impressionner : ces petits maîtres ne sont pas toute la bourgeoisie mais une frange minuscule, une écume. Peu de choses suffiraient pour qu'ils ne soient plus rien.
La liberté leur fait peur, ils récusent la justice sociale et détestent l'égalité. Tels sont nos Maîtres. De petits maîtres en vérité. Ils veulent le pouvoir, mais refusent de l'exercer. Ils bavardent sur la concurrence mondialisée, mais vivent dans le monde clos des privilèges. Ce sont des jouisseurs tristes, des intellectuels sans pensée. Faute de courage politique et de sens de l'État ils détruisent les services publics, liquident les entreprises nationales, renoncent à la souveraineté de la nation.
Il ne faut pas les laisser faire, ni se laisser impressionner : ces petits maîtres ne sont pas toute la bourgeoisie mais une frange minuscule, une écume. Peu de choses suffiraient pour qu'ils ne soient plus rien.