Léon Spilliaert. Oeuvre au noir (Ostende 1881 - Bruxelle 1946)

Par : Eva Bester

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages113
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7467-5940-4
  • EAN9782746759404
  • Date de parution23/09/2020
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille8 Mo
  • Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
  • ÉditeurAutrement

Résumé

« Spilliaert et moi sommes frères de noir. Ce qui nous différencie, c'est qu'il a du talent, une ouvre et une moustache. Ses paysages sont des asiles, ses portraits, les effigies de nos âmes sombres. Avec ses natures mortes, il transcende le réel et rend le banal fantastique. C'est un alchimiste : de la boue et la sombreur, il fait du sublime. Spilliaert donne du panache au spleen. Pour le côtoyer davantage, j'ai voulu écrire sur lui en partant sur ses traces. Ostende, Bruxelles, Paris. Ce n'était pas si loin. J'espère que vous prendrez le même plaisir que moi à faire sa connaissance. » E. B.
« Spilliaert et moi sommes frères de noir. Ce qui nous différencie, c'est qu'il a du talent, une ouvre et une moustache. Ses paysages sont des asiles, ses portraits, les effigies de nos âmes sombres. Avec ses natures mortes, il transcende le réel et rend le banal fantastique. C'est un alchimiste : de la boue et la sombreur, il fait du sublime. Spilliaert donne du panache au spleen. Pour le côtoyer davantage, j'ai voulu écrire sur lui en partant sur ses traces. Ostende, Bruxelles, Paris. Ce n'était pas si loin. J'espère que vous prendrez le même plaisir que moi à faire sa connaissance. » E. B.