Le Scorpion Tome 1 : La marque du diable

Par : Enrico Marini, Stephen Desberg

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  • Nombre de pages48
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-505-09155-4
  • EAN9782505091554
  • Date de parution27/02/2017
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille38 Mo
  • ÉditeurDargaud

Résumé

Pour les habitants de la basse ville, il est le Scorpion. Les hommes l'évitent, redoutant son épée plus virevoltante que la nuée de moustiques d'une chaude nuit d'été. Les femmes le cherchent, fascinées par la prestance de ce beau brun qui sait les aimer comme personne. Pour les habitants de la haute ville, il est Armando Catalano, l'homme à la perruque poudrée qui sait dénicher aux fins fonds des catacombes romaines les reliques des saints de l'antiquité et du Moyen âge que princes et évêques s'arrachent à prix d'or.
Pour le cardinal Trebaldi, l'impitoyable maître des moines-guerriers, l'homme qui n'hésite pas à faire empaler dans son confessionnal un prêtre trop bavard, il est le témoin d'une époque maudite qui doit disparaître. Pour cela Trebaldi demandera à une gitane égyptienne experte en poisons de lui apporter la peau de l'homme qui porte sur l'épaule droite un tatouage en forme de scorpion. Tatouage infamant rappelant à tous que la mère du héros a péri brûlée vive sur le bûcher réservé aux sorcières.
Mais la gitane manquera son coup, déchaînant la colère du Scorpion. Les murs du Vatican en tremblent encore.
Pour les habitants de la basse ville, il est le Scorpion. Les hommes l'évitent, redoutant son épée plus virevoltante que la nuée de moustiques d'une chaude nuit d'été. Les femmes le cherchent, fascinées par la prestance de ce beau brun qui sait les aimer comme personne. Pour les habitants de la haute ville, il est Armando Catalano, l'homme à la perruque poudrée qui sait dénicher aux fins fonds des catacombes romaines les reliques des saints de l'antiquité et du Moyen âge que princes et évêques s'arrachent à prix d'or.
Pour le cardinal Trebaldi, l'impitoyable maître des moines-guerriers, l'homme qui n'hésite pas à faire empaler dans son confessionnal un prêtre trop bavard, il est le témoin d'une époque maudite qui doit disparaître. Pour cela Trebaldi demandera à une gitane égyptienne experte en poisons de lui apporter la peau de l'homme qui porte sur l'épaule droite un tatouage en forme de scorpion. Tatouage infamant rappelant à tous que la mère du héros a péri brûlée vive sur le bûcher réservé aux sorcières.
Mais la gitane manquera son coup, déchaînant la colère du Scorpion. Les murs du Vatican en tremblent encore.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.6/5
sur 8 notes dont 1 avis lecteur
La marque du diable doit coûter 666€.
Un graphisme agréable illustre cette BD dont les 1eres cases augurent une bonne saga a découvrir L'opus complet en revanche me laisse un peu sur ma faim pour plusieurs raisons. La 1ere étant la fin en elle même qui a mon sens n'en est pas une mais qui me donne envie de lire la suite. La 2ème, liée a la 1ere, est du a l'inculture du très vilain en chef qui n a pas lu Maitre Gotlib. Le méchant cause, cause, cause alors qu il pourrait tuer, supprimer annihiler le gentil. Ce faisant, au lieu de rentre chez lui fier du travail accompli pour se délasser ou déguster une Kastle, il devra œuvrer dans la suite. La 3eme ou plutôt la XIIIème est la présence d'une marque qui me fait beaucoup penser a celle de Jason Fly ou Steve Rowland.
Un graphisme agréable illustre cette BD dont les 1eres cases augurent une bonne saga a découvrir L'opus complet en revanche me laisse un peu sur ma faim pour plusieurs raisons. La 1ere étant la fin en elle même qui a mon sens n'en est pas une mais qui me donne envie de lire la suite. La 2ème, liée a la 1ere, est du a l'inculture du très vilain en chef qui n a pas lu Maitre Gotlib. Le méchant cause, cause, cause alors qu il pourrait tuer, supprimer annihiler le gentil. Ce faisant, au lieu de rentre chez lui fier du travail accompli pour se délasser ou déguster une Kastle, il devra œuvrer dans la suite. La 3eme ou plutôt la XIIIème est la présence d'une marque qui me fait beaucoup penser a celle de Jason Fly ou Steve Rowland.
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