Le retour au village

Par : Kollin Noaga

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  • Nombre de pages160
  • FormatePub
  • ISBN2-402-31079-0
  • EAN9782402310796
  • Date de parution01/01/1978
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille35 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Les ...

Résumé

Ils sont nombreux ces jeunes qui, un beau jour, quittent leur village pour aller chercher fortune et jeter leur gourme à la grande ville ou même à l'étranger. Mais, trop souvent, l'aventure n'est que mésaventure : dérisoire se révèle l'odyssée des nouveaux Ulysse, et désabusé le retour au pays natal : « Vois-tu, il est souvent plus difficile de rentrer au village que d'en partir... » Tel est bien le cas pour Tinga de Tèma, le héros ou plutôt anti-héros de ce roman : inutilité de patientes années de travail, brimades des fonctionnaires, mépris des grands, tours pendables des égaux en misère, indigence des relations d'amour ou d'amitié...
La route - celle du départ, celle du retour - est semée d'obstacles. En suivant Tinga de gares en taxis, de pugilats oratoires en sanglantes batailles rangées, d'arrivées subreptices en départs discrets, nous croiserons M. Brou, le logeur madré, et Gorgui, le vendeur de montres-lunettes-ceintures ; Anne-Marie, la « panthère » qui regarde les hommes en face, et Kadidia qui les écoute trop ; le jovial commissaire Ajouo et le mystérieux « Sans-nom-parce-qu'agent-secret » ; le vénal chef d'embauche du port et le très organisé comité des évasions de la prison centrale ; « S'en-fout-la-mort », le légendaire chauffeur d'Air-Tèma, et Poussi « Petit-Marteau » (casse-gros-caillou), l'ami à éclipses ; etc.
Des portraits plus vrais que nature, des scènes croquées sur le vif, une plume alerte, une verve picaresque : tel est le talent de Kollin Noaga. Il est au service d'un propos que l'apparent détachement du récit ne doit pas cacher. Sous la fiction du roman apparaît un visage de la vie qu'il faut connaître : n'est-ce pas celui qui est offert à de nombreux autres Tinga ?
Ils sont nombreux ces jeunes qui, un beau jour, quittent leur village pour aller chercher fortune et jeter leur gourme à la grande ville ou même à l'étranger. Mais, trop souvent, l'aventure n'est que mésaventure : dérisoire se révèle l'odyssée des nouveaux Ulysse, et désabusé le retour au pays natal : « Vois-tu, il est souvent plus difficile de rentrer au village que d'en partir... » Tel est bien le cas pour Tinga de Tèma, le héros ou plutôt anti-héros de ce roman : inutilité de patientes années de travail, brimades des fonctionnaires, mépris des grands, tours pendables des égaux en misère, indigence des relations d'amour ou d'amitié...
La route - celle du départ, celle du retour - est semée d'obstacles. En suivant Tinga de gares en taxis, de pugilats oratoires en sanglantes batailles rangées, d'arrivées subreptices en départs discrets, nous croiserons M. Brou, le logeur madré, et Gorgui, le vendeur de montres-lunettes-ceintures ; Anne-Marie, la « panthère » qui regarde les hommes en face, et Kadidia qui les écoute trop ; le jovial commissaire Ajouo et le mystérieux « Sans-nom-parce-qu'agent-secret » ; le vénal chef d'embauche du port et le très organisé comité des évasions de la prison centrale ; « S'en-fout-la-mort », le légendaire chauffeur d'Air-Tèma, et Poussi « Petit-Marteau » (casse-gros-caillou), l'ami à éclipses ; etc.
Des portraits plus vrais que nature, des scènes croquées sur le vif, une plume alerte, une verve picaresque : tel est le talent de Kollin Noaga. Il est au service d'un propos que l'apparent détachement du récit ne doit pas cacher. Sous la fiction du roman apparaît un visage de la vie qu'il faut connaître : n'est-ce pas celui qui est offert à de nombreux autres Tinga ?
Le retour au village
Kollin Noaga
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