Le basketball et ses fondamentaux
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages252
- FormatPDF
- ISBN978-2-89698-299-8
- EAN9782896982998
- Date de parution28/02/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille768 Ko
- ÉditeurLe Quartanier
Résumé
Si vous demandez à Dave Langevin, il vous dira que ça fait longtemps que les signes sont là. Il suffisait d'écouter les paroles, d'être attentif aux chansons qu'il faisait jouer dans la fourgonnette de l'équipe avant les matchs dans les villes voisines. Quand les abeilles tueuses déferlent sur Granby, Dave les attend déjà depuis un moment. Le coach, lui, n'a rien à faire des théories fumeuses de son assistant.
Jamais il n'aurait pensé qu'une ville aussi paisible puisse devenir la scène des horreurs des derniers jours. Policier à la retraite, il sait pourtant que tout ce qui dort n'est pas tranquille, et qu'on ne se prépare jamais assez contre les dangers invisibles. Le basketball et ses fondamentaux, c'est aussi la paranoïa d'une collègue aux comptes recevables convaincue que le mobilier bouge pendant la nuit.
C'est cette chance en or pour un athlète déchu de revivre ses années de gloire. C'est le souvenir d'un âge où on croit encore qu'il y a en nous une légende sportive en puissance. C'est la révélation que tout dans le Québec ordinaire est potentiellement grandiose ou inquiétant. William S. Messier s'intéresse au sport, mais aussi au destin de ceux et celles qui gravitent autour des vestiaires et des gymnases.
Dans Le basketball et ses fondamentaux, il fait entendre les voix drôles et touchantes d'une galerie de personnages à la fois proches de nous et fondamentalement étranges, qui tous ont éprouvé, à un moment ou à un autre, l'intense conviction que c'est en racontant et en jouant qu'on se réinvente, malgré l'esprit qui s'emballe, les abeilles tueuses et les fautes personnelles.
Jamais il n'aurait pensé qu'une ville aussi paisible puisse devenir la scène des horreurs des derniers jours. Policier à la retraite, il sait pourtant que tout ce qui dort n'est pas tranquille, et qu'on ne se prépare jamais assez contre les dangers invisibles. Le basketball et ses fondamentaux, c'est aussi la paranoïa d'une collègue aux comptes recevables convaincue que le mobilier bouge pendant la nuit.
C'est cette chance en or pour un athlète déchu de revivre ses années de gloire. C'est le souvenir d'un âge où on croit encore qu'il y a en nous une légende sportive en puissance. C'est la révélation que tout dans le Québec ordinaire est potentiellement grandiose ou inquiétant. William S. Messier s'intéresse au sport, mais aussi au destin de ceux et celles qui gravitent autour des vestiaires et des gymnases.
Dans Le basketball et ses fondamentaux, il fait entendre les voix drôles et touchantes d'une galerie de personnages à la fois proches de nous et fondamentalement étranges, qui tous ont éprouvé, à un moment ou à un autre, l'intense conviction que c'est en racontant et en jouant qu'on se réinvente, malgré l'esprit qui s'emballe, les abeilles tueuses et les fautes personnelles.
Si vous demandez à Dave Langevin, il vous dira que ça fait longtemps que les signes sont là. Il suffisait d'écouter les paroles, d'être attentif aux chansons qu'il faisait jouer dans la fourgonnette de l'équipe avant les matchs dans les villes voisines. Quand les abeilles tueuses déferlent sur Granby, Dave les attend déjà depuis un moment. Le coach, lui, n'a rien à faire des théories fumeuses de son assistant.
Jamais il n'aurait pensé qu'une ville aussi paisible puisse devenir la scène des horreurs des derniers jours. Policier à la retraite, il sait pourtant que tout ce qui dort n'est pas tranquille, et qu'on ne se prépare jamais assez contre les dangers invisibles. Le basketball et ses fondamentaux, c'est aussi la paranoïa d'une collègue aux comptes recevables convaincue que le mobilier bouge pendant la nuit.
C'est cette chance en or pour un athlète déchu de revivre ses années de gloire. C'est le souvenir d'un âge où on croit encore qu'il y a en nous une légende sportive en puissance. C'est la révélation que tout dans le Québec ordinaire est potentiellement grandiose ou inquiétant. William S. Messier s'intéresse au sport, mais aussi au destin de ceux et celles qui gravitent autour des vestiaires et des gymnases.
Dans Le basketball et ses fondamentaux, il fait entendre les voix drôles et touchantes d'une galerie de personnages à la fois proches de nous et fondamentalement étranges, qui tous ont éprouvé, à un moment ou à un autre, l'intense conviction que c'est en racontant et en jouant qu'on se réinvente, malgré l'esprit qui s'emballe, les abeilles tueuses et les fautes personnelles.
Jamais il n'aurait pensé qu'une ville aussi paisible puisse devenir la scène des horreurs des derniers jours. Policier à la retraite, il sait pourtant que tout ce qui dort n'est pas tranquille, et qu'on ne se prépare jamais assez contre les dangers invisibles. Le basketball et ses fondamentaux, c'est aussi la paranoïa d'une collègue aux comptes recevables convaincue que le mobilier bouge pendant la nuit.
C'est cette chance en or pour un athlète déchu de revivre ses années de gloire. C'est le souvenir d'un âge où on croit encore qu'il y a en nous une légende sportive en puissance. C'est la révélation que tout dans le Québec ordinaire est potentiellement grandiose ou inquiétant. William S. Messier s'intéresse au sport, mais aussi au destin de ceux et celles qui gravitent autour des vestiaires et des gymnases.
Dans Le basketball et ses fondamentaux, il fait entendre les voix drôles et touchantes d'une galerie de personnages à la fois proches de nous et fondamentalement étranges, qui tous ont éprouvé, à un moment ou à un autre, l'intense conviction que c'est en racontant et en jouant qu'on se réinvente, malgré l'esprit qui s'emballe, les abeilles tueuses et les fautes personnelles.