La Société du vide
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- Nombre de pages267
- FormatePub
- ISBN2-02-126272-3
- EAN9782021262728
- Date de parution31/12/1983
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille88 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurSeuil (réédition numérique FeniX...
Résumé
La France, en ce début des années 80 - comme d'autres sociétés occidentales -, traverse un étrange passage à vide. Des individus, des groupes, les intellectuels eux-mêmes, paraissent se mettre en retrait du social et de l'idéologie. Derrière la cacophonie trompeuse de l'information, règne, en fait, un énorme silence. Comme une panne de la production de sens, une panne de toute transcendance. Le vide social, cette crise multiforme, n'est pas la fin de l'histoire, mais une sorte de ruse partagée confusément par tous, une manière de vivre en attendant.
Mais en attendant quoi ? Quelle prodigieuse mutation ce vide prépare-t-il ? Quel est le lien entre cette crise de la société civile et de l'État, et les nouvelles pensées qui se cherchent autour de notions comme celles d'autonomie ou de système ? La société du vide d'Yves Barel est sans doute la première analyse en profondeur de ce qu'on appelle de manière trop simpliste la crise. Elle ouvre vers l'avenir des chemins encore largement inexplorés.
Ce n'est pas si fréquent.
Mais en attendant quoi ? Quelle prodigieuse mutation ce vide prépare-t-il ? Quel est le lien entre cette crise de la société civile et de l'État, et les nouvelles pensées qui se cherchent autour de notions comme celles d'autonomie ou de système ? La société du vide d'Yves Barel est sans doute la première analyse en profondeur de ce qu'on appelle de manière trop simpliste la crise. Elle ouvre vers l'avenir des chemins encore largement inexplorés.
Ce n'est pas si fréquent.
La France, en ce début des années 80 - comme d'autres sociétés occidentales -, traverse un étrange passage à vide. Des individus, des groupes, les intellectuels eux-mêmes, paraissent se mettre en retrait du social et de l'idéologie. Derrière la cacophonie trompeuse de l'information, règne, en fait, un énorme silence. Comme une panne de la production de sens, une panne de toute transcendance. Le vide social, cette crise multiforme, n'est pas la fin de l'histoire, mais une sorte de ruse partagée confusément par tous, une manière de vivre en attendant.
Mais en attendant quoi ? Quelle prodigieuse mutation ce vide prépare-t-il ? Quel est le lien entre cette crise de la société civile et de l'État, et les nouvelles pensées qui se cherchent autour de notions comme celles d'autonomie ou de système ? La société du vide d'Yves Barel est sans doute la première analyse en profondeur de ce qu'on appelle de manière trop simpliste la crise. Elle ouvre vers l'avenir des chemins encore largement inexplorés.
Ce n'est pas si fréquent.
Mais en attendant quoi ? Quelle prodigieuse mutation ce vide prépare-t-il ? Quel est le lien entre cette crise de la société civile et de l'État, et les nouvelles pensées qui se cherchent autour de notions comme celles d'autonomie ou de système ? La société du vide d'Yves Barel est sans doute la première analyse en profondeur de ce qu'on appelle de manière trop simpliste la crise. Elle ouvre vers l'avenir des chemins encore largement inexplorés.
Ce n'est pas si fréquent.