La banalité du bien, l'Histoire de Giorgio Perlasca
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- FormatMP3
- ISBN978-2-37120-057-9
- EAN9782371200579
- Date de parution25/01/2024
- Protection num.pas de protection
- Infos supplémentairesaudio
- ÉditeurPortrait (Editions du)
Résumé
Dans ce récit, Deaglio raconte l'histoire de Giorgio Perlasca, un Italien fasciste qui s'est retrouvé en Hongrie et a sauvé plus de 5 000 juifs de la déportation.
Perlasca a voté pour Mussolini avec enthousiasme et s'est engagé dans un corps militaire qui accepte d'aller se battre en Espagne aux côtés de Franco. En 1944, il se rend à Budapest pour des raisons professionnelles et assiste à l'assassinat d'un enfant juif.
Ecouré et révolté, il va à l'ambassade espagnole, alors pays neutre, pour se procurer de faux papiers et en distribuer aux Juifs. Très vite, l'ambassadeur espagnol fuit Budapest et Perlasca le remplace grâce à la falsification de lettres de nomination. Avec un sens de l'organisation hors du commun et motivé par sa colère, il aménage des maisons refuge pour les juifs et veille chaque jour à ce qu'ils aient de quoi se nourrir et se soigner, s'opposant ainsi aux Nazis et aux Croix Fléchées hongroises. Deaglio suit Perlasca dans son quotidien.
Il décrit l'hiver, les rues de Budapest, les personnes rencontrées, les représentants des États neutres - Espagne, Suisse, Suède - et les politiciens hongrois. La banalité du bien, c'est aussi une plongée dans l'Histoire en train de s'écrire avec l'arrivée d'Eichmann, les déportations massives, l'avancée des Russes et la politique communiste post-1945. Vendu à 150 000 exemplaires, réimprimé 17 fois en Italie et ayant fait l'objet d'une adaptation télé vue par 27 millions de personnes, La banalité du bien.
L'histoire de Giorgio Perlasca de Enrico Deaglio est traduit pour la première fois en français. * Le mémorial de Yad Vashem à Jérusalem, consacré aux victimes de la Shoah, honore les Justes parmi les Nations qui ont mis leur vie en danger pour sauver des Juifs.
Ecouré et révolté, il va à l'ambassade espagnole, alors pays neutre, pour se procurer de faux papiers et en distribuer aux Juifs. Très vite, l'ambassadeur espagnol fuit Budapest et Perlasca le remplace grâce à la falsification de lettres de nomination. Avec un sens de l'organisation hors du commun et motivé par sa colère, il aménage des maisons refuge pour les juifs et veille chaque jour à ce qu'ils aient de quoi se nourrir et se soigner, s'opposant ainsi aux Nazis et aux Croix Fléchées hongroises. Deaglio suit Perlasca dans son quotidien.
Il décrit l'hiver, les rues de Budapest, les personnes rencontrées, les représentants des États neutres - Espagne, Suisse, Suède - et les politiciens hongrois. La banalité du bien, c'est aussi une plongée dans l'Histoire en train de s'écrire avec l'arrivée d'Eichmann, les déportations massives, l'avancée des Russes et la politique communiste post-1945. Vendu à 150 000 exemplaires, réimprimé 17 fois en Italie et ayant fait l'objet d'une adaptation télé vue par 27 millions de personnes, La banalité du bien.
L'histoire de Giorgio Perlasca de Enrico Deaglio est traduit pour la première fois en français. * Le mémorial de Yad Vashem à Jérusalem, consacré aux victimes de la Shoah, honore les Justes parmi les Nations qui ont mis leur vie en danger pour sauver des Juifs.
Dans ce récit, Deaglio raconte l'histoire de Giorgio Perlasca, un Italien fasciste qui s'est retrouvé en Hongrie et a sauvé plus de 5 000 juifs de la déportation.
Perlasca a voté pour Mussolini avec enthousiasme et s'est engagé dans un corps militaire qui accepte d'aller se battre en Espagne aux côtés de Franco. En 1944, il se rend à Budapest pour des raisons professionnelles et assiste à l'assassinat d'un enfant juif.
Ecouré et révolté, il va à l'ambassade espagnole, alors pays neutre, pour se procurer de faux papiers et en distribuer aux Juifs. Très vite, l'ambassadeur espagnol fuit Budapest et Perlasca le remplace grâce à la falsification de lettres de nomination. Avec un sens de l'organisation hors du commun et motivé par sa colère, il aménage des maisons refuge pour les juifs et veille chaque jour à ce qu'ils aient de quoi se nourrir et se soigner, s'opposant ainsi aux Nazis et aux Croix Fléchées hongroises. Deaglio suit Perlasca dans son quotidien.
Il décrit l'hiver, les rues de Budapest, les personnes rencontrées, les représentants des États neutres - Espagne, Suisse, Suède - et les politiciens hongrois. La banalité du bien, c'est aussi une plongée dans l'Histoire en train de s'écrire avec l'arrivée d'Eichmann, les déportations massives, l'avancée des Russes et la politique communiste post-1945. Vendu à 150 000 exemplaires, réimprimé 17 fois en Italie et ayant fait l'objet d'une adaptation télé vue par 27 millions de personnes, La banalité du bien.
L'histoire de Giorgio Perlasca de Enrico Deaglio est traduit pour la première fois en français. * Le mémorial de Yad Vashem à Jérusalem, consacré aux victimes de la Shoah, honore les Justes parmi les Nations qui ont mis leur vie en danger pour sauver des Juifs.
Ecouré et révolté, il va à l'ambassade espagnole, alors pays neutre, pour se procurer de faux papiers et en distribuer aux Juifs. Très vite, l'ambassadeur espagnol fuit Budapest et Perlasca le remplace grâce à la falsification de lettres de nomination. Avec un sens de l'organisation hors du commun et motivé par sa colère, il aménage des maisons refuge pour les juifs et veille chaque jour à ce qu'ils aient de quoi se nourrir et se soigner, s'opposant ainsi aux Nazis et aux Croix Fléchées hongroises. Deaglio suit Perlasca dans son quotidien.
Il décrit l'hiver, les rues de Budapest, les personnes rencontrées, les représentants des États neutres - Espagne, Suisse, Suède - et les politiciens hongrois. La banalité du bien, c'est aussi une plongée dans l'Histoire en train de s'écrire avec l'arrivée d'Eichmann, les déportations massives, l'avancée des Russes et la politique communiste post-1945. Vendu à 150 000 exemplaires, réimprimé 17 fois en Italie et ayant fait l'objet d'une adaptation télé vue par 27 millions de personnes, La banalité du bien.
L'histoire de Giorgio Perlasca de Enrico Deaglio est traduit pour la première fois en français. * Le mémorial de Yad Vashem à Jérusalem, consacré aux victimes de la Shoah, honore les Justes parmi les Nations qui ont mis leur vie en danger pour sauver des Juifs.