L'individualisation de la peine. De Saleilles à aujourd'hui
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- Nombre de pages288
- FormatPDF
- ISBN2-7492-2798-4
- EAN9782749227986
- Date de parution22/02/2001
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurEres
Résumé
Cent ans après Saleilles, l'individualisation de la peine demeure une question d'actualité. Même rebaptisée dans le nouveau Code pénal sous le terme de personnalisation, l'individualisation n'a cessé d'être la clé de voûte de la pénologie moderne. Le principe s'impose avec une telle évidence qu'il n'a jamais paru devoir être sérieusement mis en cause. La pratique quotidienne comme le résultat des recherches empiriques montrent cependant les limites rencontrées lors de la mise en ouvre du principe.
Pour comprendre les raisons d'un tel paradoxe, il convient de revenir aux sources et donc à Saleilles et à son ouvrage paru en 1899. Cent ans après sa parution, une réédition s'imposait et le lecteur constatera que déjà, il pointait toute la difficulté que représente la conciliation entre le besoin d'expiation éprouvé par le corps social, et la nécessité de proportionner la peine à la personnalité de l'individu.
Aujourd'hui, en dépit des progrès réalisés dans le domaine des sciences criminelles, la recherche d'un juste équilibre demeure tout aussi aléatoire. Le souci d'égalité vient-il s'opposer à celui d'individualisation de la peine ou au contraire justifie-t-il sa mise en ouvre ? Les peines constituent-elles des modes de gestion de l'indignation sociale ? Qu'en est-il de leur fonction de réinsertion ? Existe-t-il des instruments de sanction pénale intégrés à la vie sociale sans toutefois être destructeurs de l'individu ? De quels moyens matériels et techniques disposent les services judiciaires et pénitentiaires pour mettre en ouvre l'individualisation de la peine, qu'il s'agisse du choix de la sanction ou des modalités de son exécution ? Les différents spécialistes de la criminologie réunis dans cet ouvrage nous invitent à réfléchir à la vision de l'homme qui sous-tend aujourd'hui le système de justice pénale constitué d'infractions et de sanctions.
Leurs analyses et leurs recherches viennent alimenter le débat très actuel qui agite notre société. Sous la direction de Reynald Ottenhof, professeur de criminologie à Nantes (précédemment à Pau), président de la section française de l'Association internationale de droit pénal, rédacteur en chef de la Revue internationale de droit pénal (éditions Erès) Réédition de la troisième édition de L'individualisation de la peine par Raymond Saleilles.
Avec la participation de : Cécile Barberger, Michel Beloncle, Bruno Cotte, Pierre Couvrat, Marie-Clet Desdevises, Anne-Marie Favard, Christine Lazerges, Henri Le Gall, Gérard Lorho, Pierrette Poncela, Denis Salas, Catherine Samet, Françoise Tulkens.
Pour comprendre les raisons d'un tel paradoxe, il convient de revenir aux sources et donc à Saleilles et à son ouvrage paru en 1899. Cent ans après sa parution, une réédition s'imposait et le lecteur constatera que déjà, il pointait toute la difficulté que représente la conciliation entre le besoin d'expiation éprouvé par le corps social, et la nécessité de proportionner la peine à la personnalité de l'individu.
Aujourd'hui, en dépit des progrès réalisés dans le domaine des sciences criminelles, la recherche d'un juste équilibre demeure tout aussi aléatoire. Le souci d'égalité vient-il s'opposer à celui d'individualisation de la peine ou au contraire justifie-t-il sa mise en ouvre ? Les peines constituent-elles des modes de gestion de l'indignation sociale ? Qu'en est-il de leur fonction de réinsertion ? Existe-t-il des instruments de sanction pénale intégrés à la vie sociale sans toutefois être destructeurs de l'individu ? De quels moyens matériels et techniques disposent les services judiciaires et pénitentiaires pour mettre en ouvre l'individualisation de la peine, qu'il s'agisse du choix de la sanction ou des modalités de son exécution ? Les différents spécialistes de la criminologie réunis dans cet ouvrage nous invitent à réfléchir à la vision de l'homme qui sous-tend aujourd'hui le système de justice pénale constitué d'infractions et de sanctions.
Leurs analyses et leurs recherches viennent alimenter le débat très actuel qui agite notre société. Sous la direction de Reynald Ottenhof, professeur de criminologie à Nantes (précédemment à Pau), président de la section française de l'Association internationale de droit pénal, rédacteur en chef de la Revue internationale de droit pénal (éditions Erès) Réédition de la troisième édition de L'individualisation de la peine par Raymond Saleilles.
Avec la participation de : Cécile Barberger, Michel Beloncle, Bruno Cotte, Pierre Couvrat, Marie-Clet Desdevises, Anne-Marie Favard, Christine Lazerges, Henri Le Gall, Gérard Lorho, Pierrette Poncela, Denis Salas, Catherine Samet, Françoise Tulkens.
Cent ans après Saleilles, l'individualisation de la peine demeure une question d'actualité. Même rebaptisée dans le nouveau Code pénal sous le terme de personnalisation, l'individualisation n'a cessé d'être la clé de voûte de la pénologie moderne. Le principe s'impose avec une telle évidence qu'il n'a jamais paru devoir être sérieusement mis en cause. La pratique quotidienne comme le résultat des recherches empiriques montrent cependant les limites rencontrées lors de la mise en ouvre du principe.
Pour comprendre les raisons d'un tel paradoxe, il convient de revenir aux sources et donc à Saleilles et à son ouvrage paru en 1899. Cent ans après sa parution, une réédition s'imposait et le lecteur constatera que déjà, il pointait toute la difficulté que représente la conciliation entre le besoin d'expiation éprouvé par le corps social, et la nécessité de proportionner la peine à la personnalité de l'individu.
Aujourd'hui, en dépit des progrès réalisés dans le domaine des sciences criminelles, la recherche d'un juste équilibre demeure tout aussi aléatoire. Le souci d'égalité vient-il s'opposer à celui d'individualisation de la peine ou au contraire justifie-t-il sa mise en ouvre ? Les peines constituent-elles des modes de gestion de l'indignation sociale ? Qu'en est-il de leur fonction de réinsertion ? Existe-t-il des instruments de sanction pénale intégrés à la vie sociale sans toutefois être destructeurs de l'individu ? De quels moyens matériels et techniques disposent les services judiciaires et pénitentiaires pour mettre en ouvre l'individualisation de la peine, qu'il s'agisse du choix de la sanction ou des modalités de son exécution ? Les différents spécialistes de la criminologie réunis dans cet ouvrage nous invitent à réfléchir à la vision de l'homme qui sous-tend aujourd'hui le système de justice pénale constitué d'infractions et de sanctions.
Leurs analyses et leurs recherches viennent alimenter le débat très actuel qui agite notre société. Sous la direction de Reynald Ottenhof, professeur de criminologie à Nantes (précédemment à Pau), président de la section française de l'Association internationale de droit pénal, rédacteur en chef de la Revue internationale de droit pénal (éditions Erès) Réédition de la troisième édition de L'individualisation de la peine par Raymond Saleilles.
Avec la participation de : Cécile Barberger, Michel Beloncle, Bruno Cotte, Pierre Couvrat, Marie-Clet Desdevises, Anne-Marie Favard, Christine Lazerges, Henri Le Gall, Gérard Lorho, Pierrette Poncela, Denis Salas, Catherine Samet, Françoise Tulkens.
Pour comprendre les raisons d'un tel paradoxe, il convient de revenir aux sources et donc à Saleilles et à son ouvrage paru en 1899. Cent ans après sa parution, une réédition s'imposait et le lecteur constatera que déjà, il pointait toute la difficulté que représente la conciliation entre le besoin d'expiation éprouvé par le corps social, et la nécessité de proportionner la peine à la personnalité de l'individu.
Aujourd'hui, en dépit des progrès réalisés dans le domaine des sciences criminelles, la recherche d'un juste équilibre demeure tout aussi aléatoire. Le souci d'égalité vient-il s'opposer à celui d'individualisation de la peine ou au contraire justifie-t-il sa mise en ouvre ? Les peines constituent-elles des modes de gestion de l'indignation sociale ? Qu'en est-il de leur fonction de réinsertion ? Existe-t-il des instruments de sanction pénale intégrés à la vie sociale sans toutefois être destructeurs de l'individu ? De quels moyens matériels et techniques disposent les services judiciaires et pénitentiaires pour mettre en ouvre l'individualisation de la peine, qu'il s'agisse du choix de la sanction ou des modalités de son exécution ? Les différents spécialistes de la criminologie réunis dans cet ouvrage nous invitent à réfléchir à la vision de l'homme qui sous-tend aujourd'hui le système de justice pénale constitué d'infractions et de sanctions.
Leurs analyses et leurs recherches viennent alimenter le débat très actuel qui agite notre société. Sous la direction de Reynald Ottenhof, professeur de criminologie à Nantes (précédemment à Pau), président de la section française de l'Association internationale de droit pénal, rédacteur en chef de la Revue internationale de droit pénal (éditions Erès) Réédition de la troisième édition de L'individualisation de la peine par Raymond Saleilles.
Avec la participation de : Cécile Barberger, Michel Beloncle, Bruno Cotte, Pierre Couvrat, Marie-Clet Desdevises, Anne-Marie Favard, Christine Lazerges, Henri Le Gall, Gérard Lorho, Pierrette Poncela, Denis Salas, Catherine Samet, Françoise Tulkens.