L'Homme et ses jardins
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- Nombre de pages264
- FormatPDF
- ISBN2-226-22679-6
- EAN9782226226792
- Date de parution05/03/1998
- Protection num.Adobe DRM
- Taille13 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Dans cet ouvrage, Jacques Benoist-Méchin a voulu transmettre sa passion des jardins. II y cherche moins une retraite que l'étanchement d'une soif secrète, moins un repos qu'un éveil. À l'écart des autres passions de sa vie, il y poursuit l'image du bonheur. Car l'amour des jardins, dit-il, ne doit pas être confondu avec l'amour de la nature ou des sites. C'est un amour chargé d'une vérité humaine plus profonde, où le ravissement n'est qu'un signe.
La paix de ces espaces ombragés a l'intensité d'un poème, la beauté d'une oeuvre d'art. Mais, pour l'auteur, toutes les civilisations n'ont pas atteint une égale perfection en matière de jardins. Seuls les Chinois, les Japonais, les Perses, les Arabes, les Toscans et les Français, qui se sont efforcés d'exprimer leur propre génie dans ce domaine, nous paraîtront toujours, "sinon plus civilisés que les autres, du moins plus conscients de ce que leur civilisation a eu de meilleur".
À travers les siècles et même les millénaires, d'un continent à l'autre, ]acques Benoist-Méchin nous invite à une promenade heureuse au long de jardins ornés d'arbres, de fleurs, de jets d'eau et de statues. Mais cette promenade n'est pas sans but : à l'homme conscient d'être mortel, elle propose des visions, des métamorphoses et la lointaine sérénité du Paradis perdu.
La paix de ces espaces ombragés a l'intensité d'un poème, la beauté d'une oeuvre d'art. Mais, pour l'auteur, toutes les civilisations n'ont pas atteint une égale perfection en matière de jardins. Seuls les Chinois, les Japonais, les Perses, les Arabes, les Toscans et les Français, qui se sont efforcés d'exprimer leur propre génie dans ce domaine, nous paraîtront toujours, "sinon plus civilisés que les autres, du moins plus conscients de ce que leur civilisation a eu de meilleur".
À travers les siècles et même les millénaires, d'un continent à l'autre, ]acques Benoist-Méchin nous invite à une promenade heureuse au long de jardins ornés d'arbres, de fleurs, de jets d'eau et de statues. Mais cette promenade n'est pas sans but : à l'homme conscient d'être mortel, elle propose des visions, des métamorphoses et la lointaine sérénité du Paradis perdu.
Dans cet ouvrage, Jacques Benoist-Méchin a voulu transmettre sa passion des jardins. II y cherche moins une retraite que l'étanchement d'une soif secrète, moins un repos qu'un éveil. À l'écart des autres passions de sa vie, il y poursuit l'image du bonheur. Car l'amour des jardins, dit-il, ne doit pas être confondu avec l'amour de la nature ou des sites. C'est un amour chargé d'une vérité humaine plus profonde, où le ravissement n'est qu'un signe.
La paix de ces espaces ombragés a l'intensité d'un poème, la beauté d'une oeuvre d'art. Mais, pour l'auteur, toutes les civilisations n'ont pas atteint une égale perfection en matière de jardins. Seuls les Chinois, les Japonais, les Perses, les Arabes, les Toscans et les Français, qui se sont efforcés d'exprimer leur propre génie dans ce domaine, nous paraîtront toujours, "sinon plus civilisés que les autres, du moins plus conscients de ce que leur civilisation a eu de meilleur".
À travers les siècles et même les millénaires, d'un continent à l'autre, ]acques Benoist-Méchin nous invite à une promenade heureuse au long de jardins ornés d'arbres, de fleurs, de jets d'eau et de statues. Mais cette promenade n'est pas sans but : à l'homme conscient d'être mortel, elle propose des visions, des métamorphoses et la lointaine sérénité du Paradis perdu.
La paix de ces espaces ombragés a l'intensité d'un poème, la beauté d'une oeuvre d'art. Mais, pour l'auteur, toutes les civilisations n'ont pas atteint une égale perfection en matière de jardins. Seuls les Chinois, les Japonais, les Perses, les Arabes, les Toscans et les Français, qui se sont efforcés d'exprimer leur propre génie dans ce domaine, nous paraîtront toujours, "sinon plus civilisés que les autres, du moins plus conscients de ce que leur civilisation a eu de meilleur".
À travers les siècles et même les millénaires, d'un continent à l'autre, ]acques Benoist-Méchin nous invite à une promenade heureuse au long de jardins ornés d'arbres, de fleurs, de jets d'eau et de statues. Mais cette promenade n'est pas sans but : à l'homme conscient d'être mortel, elle propose des visions, des métamorphoses et la lointaine sérénité du Paradis perdu.