L'Homme des Andes. De la préhistoire aux dernières révolutions
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- Nombre de pages400
- FormatPDF
- ISBN2-226-35503-0
- EAN9782226355034
- Date de parution31/12/1975
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille146 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurAlbin Michel (réédition numériqu...
Résumé
Depuis quelque trente mille ans, de la mer des Caraïbes aux confins antarctiques, le long de l'immense Cordillère des Andes, se déroule une aventure de l'Homme qui ne peut nous rester étrangère. Évoquer cette aventure, tel est le propos de l'auteur.
Tout comme son congénère de Proche Asie et d'Europe, l'homme des côtes du Pacifique et des vallées andines élaborait, plusieurs millénaires avant notre ère, des cultures, dont l'originalité retient jusqu'à l'obsession, et pose bien des énigmes.
Les Incas, mieux connus, viennent beaucoup plus tard.
Leur théocratie collectiviste tente d'unifier le monde des Andes, mais elle s'effondre sous les coups des cavaliers ibériques, en qui « se mêlent volonté de puissance, soif de l'or, fascination du sang et de la Croix ». Par ces Conquistadores, personnages hauts en couleur, s'effectue la greffe castillane sur l'antique tronc andin, au prix de la mutilation de l'âme ancestrale. Le premier ordre colonial s'instaure. Mais, alors que décline la puissance espagnole, que grondent les prodromes de la Révolution française, apparaissent les Libertadores, parmi lesquels se dresse la très haute stature de Simon Bolivar.
Quelques poignées d'acteurs, sur une scène immense, plus de vingt années de combats pour abolir ce premier ordre colonial, trois fois séculaire. Bientôt, hélas, on apprendra que « l'indépendance est une divinité au sourire ambigu ». Viennent alors les essais tumultueux de régimes démocratiques à l'occidentale. Le rêve ocuménique de Bolivar s'efface. L'impérialisme économique du grand voisin du Nord prend son essor, il ne cessera, à travers coups d'État et révolutions avortées, d'interférer dans la vie des nouvelles nations.
La lutte s'engage contre le second ordre colonial. L'enjeu en est l'émergence des masses humaines hors de leur misère, l'accès - pour l'Homme des Andes - à la dignité. La prise de conscience anti-impérialiste s'avère irréversible. Telle est la longue et douloureuse marche de l'Homme des Andes. Ce livre, magistrale résurrection du passé, servie par une information rigoureuse, puisée aux meilleures sources, est une vaste fresque, animée par la peinture du paysage tourmenté des Andes et la présence de héros - au sens où l'entendait Carlyle - étonnamment vivants dans leurs exaltations et leurs souffrances, promis aux drames, comme tous ceux qui tentent de forcer l'Histoire à s'accomplir.
Il nous apporte aussi une vision lucide du présent, qui s'appuie sur une rare objectivité dans les jugements. Enfin, cette ouvre d'Alban Vistel se lit comme un roman d'aventures ; aventures de peuples, aventure de l'Homme, périples jamais achevés.
Leur théocratie collectiviste tente d'unifier le monde des Andes, mais elle s'effondre sous les coups des cavaliers ibériques, en qui « se mêlent volonté de puissance, soif de l'or, fascination du sang et de la Croix ». Par ces Conquistadores, personnages hauts en couleur, s'effectue la greffe castillane sur l'antique tronc andin, au prix de la mutilation de l'âme ancestrale. Le premier ordre colonial s'instaure. Mais, alors que décline la puissance espagnole, que grondent les prodromes de la Révolution française, apparaissent les Libertadores, parmi lesquels se dresse la très haute stature de Simon Bolivar.
Quelques poignées d'acteurs, sur une scène immense, plus de vingt années de combats pour abolir ce premier ordre colonial, trois fois séculaire. Bientôt, hélas, on apprendra que « l'indépendance est une divinité au sourire ambigu ». Viennent alors les essais tumultueux de régimes démocratiques à l'occidentale. Le rêve ocuménique de Bolivar s'efface. L'impérialisme économique du grand voisin du Nord prend son essor, il ne cessera, à travers coups d'État et révolutions avortées, d'interférer dans la vie des nouvelles nations.
La lutte s'engage contre le second ordre colonial. L'enjeu en est l'émergence des masses humaines hors de leur misère, l'accès - pour l'Homme des Andes - à la dignité. La prise de conscience anti-impérialiste s'avère irréversible. Telle est la longue et douloureuse marche de l'Homme des Andes. Ce livre, magistrale résurrection du passé, servie par une information rigoureuse, puisée aux meilleures sources, est une vaste fresque, animée par la peinture du paysage tourmenté des Andes et la présence de héros - au sens où l'entendait Carlyle - étonnamment vivants dans leurs exaltations et leurs souffrances, promis aux drames, comme tous ceux qui tentent de forcer l'Histoire à s'accomplir.
Il nous apporte aussi une vision lucide du présent, qui s'appuie sur une rare objectivité dans les jugements. Enfin, cette ouvre d'Alban Vistel se lit comme un roman d'aventures ; aventures de peuples, aventure de l'Homme, périples jamais achevés.
Depuis quelque trente mille ans, de la mer des Caraïbes aux confins antarctiques, le long de l'immense Cordillère des Andes, se déroule une aventure de l'Homme qui ne peut nous rester étrangère. Évoquer cette aventure, tel est le propos de l'auteur.
Tout comme son congénère de Proche Asie et d'Europe, l'homme des côtes du Pacifique et des vallées andines élaborait, plusieurs millénaires avant notre ère, des cultures, dont l'originalité retient jusqu'à l'obsession, et pose bien des énigmes.
Les Incas, mieux connus, viennent beaucoup plus tard.
Leur théocratie collectiviste tente d'unifier le monde des Andes, mais elle s'effondre sous les coups des cavaliers ibériques, en qui « se mêlent volonté de puissance, soif de l'or, fascination du sang et de la Croix ». Par ces Conquistadores, personnages hauts en couleur, s'effectue la greffe castillane sur l'antique tronc andin, au prix de la mutilation de l'âme ancestrale. Le premier ordre colonial s'instaure. Mais, alors que décline la puissance espagnole, que grondent les prodromes de la Révolution française, apparaissent les Libertadores, parmi lesquels se dresse la très haute stature de Simon Bolivar.
Quelques poignées d'acteurs, sur une scène immense, plus de vingt années de combats pour abolir ce premier ordre colonial, trois fois séculaire. Bientôt, hélas, on apprendra que « l'indépendance est une divinité au sourire ambigu ». Viennent alors les essais tumultueux de régimes démocratiques à l'occidentale. Le rêve ocuménique de Bolivar s'efface. L'impérialisme économique du grand voisin du Nord prend son essor, il ne cessera, à travers coups d'État et révolutions avortées, d'interférer dans la vie des nouvelles nations.
La lutte s'engage contre le second ordre colonial. L'enjeu en est l'émergence des masses humaines hors de leur misère, l'accès - pour l'Homme des Andes - à la dignité. La prise de conscience anti-impérialiste s'avère irréversible. Telle est la longue et douloureuse marche de l'Homme des Andes. Ce livre, magistrale résurrection du passé, servie par une information rigoureuse, puisée aux meilleures sources, est une vaste fresque, animée par la peinture du paysage tourmenté des Andes et la présence de héros - au sens où l'entendait Carlyle - étonnamment vivants dans leurs exaltations et leurs souffrances, promis aux drames, comme tous ceux qui tentent de forcer l'Histoire à s'accomplir.
Il nous apporte aussi une vision lucide du présent, qui s'appuie sur une rare objectivité dans les jugements. Enfin, cette ouvre d'Alban Vistel se lit comme un roman d'aventures ; aventures de peuples, aventure de l'Homme, périples jamais achevés.
Leur théocratie collectiviste tente d'unifier le monde des Andes, mais elle s'effondre sous les coups des cavaliers ibériques, en qui « se mêlent volonté de puissance, soif de l'or, fascination du sang et de la Croix ». Par ces Conquistadores, personnages hauts en couleur, s'effectue la greffe castillane sur l'antique tronc andin, au prix de la mutilation de l'âme ancestrale. Le premier ordre colonial s'instaure. Mais, alors que décline la puissance espagnole, que grondent les prodromes de la Révolution française, apparaissent les Libertadores, parmi lesquels se dresse la très haute stature de Simon Bolivar.
Quelques poignées d'acteurs, sur une scène immense, plus de vingt années de combats pour abolir ce premier ordre colonial, trois fois séculaire. Bientôt, hélas, on apprendra que « l'indépendance est une divinité au sourire ambigu ». Viennent alors les essais tumultueux de régimes démocratiques à l'occidentale. Le rêve ocuménique de Bolivar s'efface. L'impérialisme économique du grand voisin du Nord prend son essor, il ne cessera, à travers coups d'État et révolutions avortées, d'interférer dans la vie des nouvelles nations.
La lutte s'engage contre le second ordre colonial. L'enjeu en est l'émergence des masses humaines hors de leur misère, l'accès - pour l'Homme des Andes - à la dignité. La prise de conscience anti-impérialiste s'avère irréversible. Telle est la longue et douloureuse marche de l'Homme des Andes. Ce livre, magistrale résurrection du passé, servie par une information rigoureuse, puisée aux meilleures sources, est une vaste fresque, animée par la peinture du paysage tourmenté des Andes et la présence de héros - au sens où l'entendait Carlyle - étonnamment vivants dans leurs exaltations et leurs souffrances, promis aux drames, comme tous ceux qui tentent de forcer l'Histoire à s'accomplir.
Il nous apporte aussi une vision lucide du présent, qui s'appuie sur une rare objectivité dans les jugements. Enfin, cette ouvre d'Alban Vistel se lit comme un roman d'aventures ; aventures de peuples, aventure de l'Homme, périples jamais achevés.